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actualités

  • Jacqueline SANCHEZ, Présidente fondatrice de THOuTécrire

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    Jacqueline SANCHEZ

    Consultante

     

    Vous voulez savoir comment une idée devient un projet, et comment un projet devient réalité ?

    Cliquez sur le lien ci dessous

    Une idée, Un projet, Son financementt.pdf

  • Avis aux propriétaires de biens immobiliers : une nouvelle obligation déclarative s’impose depuis le 1er janvier 2023

     

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    Céline FORT

    Dans un contexte de suppression de la taxe d’habitation pour toutes les résidences principales et tous les contribuables, une nouvelle obligation déclarative s’impose aux propriétaires de biens immobiliers situés en France, depuis le 1er janvier 2023.

    Cette déclaration s’effectue en ligne, sur le site https://www.impots.gouv.fr/ accueil via le service « Gérer mes biens immobiliers », avant le 1er juillet 2023. Afin de faciliter cette démarche, les données connues de l’administration fiscale sont pré-enregistrées.

    L’objectif de la loi de finances pour 2020 imposant cette nouvelle obligation était de déterminer les propriétaires restant redevables de la taxe d’habitation (résidence secondaire, logement locatif, logement vacant).

    Tout propriétaire, particulier ou entreprise, résident ou non-résident fiscal français, de biens immobiliers à usage d’habitation, sont concernés, et doivent désormais déclarer à quel titre ils occupent chacun de leurs locaux, ou, en cas de logement locatif, l’identité des occupants et la période d’occupation.

    En cas de non-respect de cette déclaration, une amende forfaitaire de 150 € par local d’habitation pourra être appliquée.

    Après une première déclaration, seuls seront dispensés de cette obligation les propriétaires des locaux pour lesquels aucun changement n’est intervenu depuis la dernière déclaration.

    https://www.impots.gouv.fr/actualite/gerer-mes-biens-immobiliers-un-nouveau-service-en-ligne-pour-les-usagers-proprietaires-1

  • L'avenir c'est maintenant avec l'I.A. Nouvelle technologie : Le Chat GPT 2023

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    Par Michel Berger, Conseil en communication, 06 20 92 22 27

     

    L’avenir c’est maintenant avec l’I.A.
    Nouvelle technologie : Le ChatGPT 2023


    Ouvrons les yeux sur la situation sociale, culturelle et spirituelle de la France en 2023


    Trois raisons profondes possibles pour comprendre l’état actuel :
    1. La déchristianisation de la France
    2. La corruption du caractère français
    3. Le jeu trouble des élites


    Conséquences de la nature humaine actuelle :


    1. Le choc des racismes
      2. Le choc des mentalités
      3. Le contentieux de la gouvernance
      4. La guerre contre l’État
      5. L’échec économique et social des diasporas
      6. Le match retour de la colonisation


    Nous risquons la tropicalisation, c-à-d. une république bananière, un peuple woke, une
    élite décomplexée, une population assiégée et froussarde... comme le Brésil, Cuba et bien
    d’autres au sud du tropique. Misère du français habitant les ruines de sa civilisation... Misère
    du « mouton tondu à l’extrême » !


    Arrivée d’une nouvelle technologie : le robot « ChatGPT »


    Prototype utilisant l'intelligence artificielle, développé par OpenAI et spécialisé dans le dialogue.


    Quel impact du désormais fameux robot «ChatGPT» américain, cette intelligence artificielle qui répond à toutes vos questions ? Et notamment à celles des étudiants, le robot conversationnel ayant la capacité de vous pondre en quelques instants un plan de dissertation très convaincant ou un résumé tout aussi efficace de n'importe quel cours ou livre.

    Préoccupations actuelles à l’Éducation nationale, dans les Universités et dans
    quelques grandes écoles à l’occasion des examens et des contrôles continus... Comment nos jeunes construisent leur capacité à mémoriser, analyser, synthétiser ? Comment mesurer leur mérite ?...


    Pourquoi on en parle ? Cette intelligence artificielle (IA) va-t-elle contribuer à faire disparaître
    certaines professions ? Va-t-elle faire de nous de gros fainéants sans cerveau ? Que peut-elle nous apporter ? L’homme prépare-t-il sa propre perte ou son avenir ?


    Analyse. "Au début, l'IA faisait peur parce qu'on avait la crainte que ça se substitue à l'individu, que ce soit un
    esprit qui soit un rival de notre propre esprit. En réalité, c'est autre chose. Ce sont des facultés cognitives qui sont simulées et elles sont introduites à l'intérieur de dispositifs technologiques qui peuvent rendre des services extrêmement précieux. Vous pouvez voir les avancées en santé, en banque, puis le tourisme, laculture, l’architecture, l’industrie et même l’agricultue...


    Le Figaro a ainsi relevé plus de 210 ouvrages rédigés par le robot conversationnel. Pour 1,99 dollar dans leur version numérique ou quelques dollars de plus en version papier, vous pouvez vous procurer ces histoires ou essais que Monsieur ou Madame Tout-le-Monde peut désormais faire écrire à ChatGPT. De quoi inquiéter les auteurs et éditeurs français, peu sereins à l'idée de voir cette technologie, encore très peu réglementée, envahir leur petit monde.


    Cette I.A. mettra-t-elle Google au chômage ? même le GAFAM ? 5 jours ont été nécessaires pour
    acquérir 1 million d’abonnés et déjà des concurrents se profilent pour encore enrichir l’offre actuelle... Conséquences lourdes, enjeux importants sur la vie privée et professionnelle. Vous pouvez déjà penser à l’impact possible sur tout emploi : exemple les pilotes d’avions, les conducteurs de trains, les chauffeurs de voitures tout automatisés, le tourisme, la culture, l’architecture, l’industrie, la formation...
    Vous posez une question, vous avez la réponse en quelques secondes : faites le test sur la nouvelle loi sur les retraites 2023 et vous verrez un texte clair, pédagogique et complet mieux que nos politiques et journalistes actuels. Attention à vos questions. Certaines risquent d’être permises et non permises en fonction de l’idéologie de nos gouvernants et d’autres... (exemple IBM Watson sur le blanc et le nègre)


    D’où risque d’inégalités accrues, accompagnement nécessaire, éducation et formation à revoir, une ré- humanisation à inventer...


    Comment nos politiques ne prennent pas encore en charge ce développement du numérique ?
    Véritablement un bouleversement philosophique, éthique et menace sur notre « esprit critique » (Test de TURING : une demie- heure robot/homme sur un sujet et vous ne savez plus qui parle...)


    Que pensez des robots « SOPHIA » accompagnateurs de l’Homme pour les courses, le ménage, la vie
    intime... au domicile et à l’extérieur, le chien de garde robots, la sécurité des locaux automatisés et autres... effets sur l’économie et l’emploi... Le monde politique doit s’en emparer ! car sujet tabou comme l’imprimerie à sa création.

    Comment réagir :


    1 Prise de conscience générale et ne pas rater ce tournant. Nous avons déjà du retard sur l’Amérique et la Chine...
    2 Enseignement et Formation : supprimer les métiers inutiles passés et avenir avec la mission de rendre le cerveau complémentaire pour rester compétitif...
    3 Adaptation des entreprises, les faire entrer dans ce nouvel univers, complément du numérique actuel en demandant à l’État d’être stratège et d’ouvrir des protections au « ChatGPT »....


    Conclusion


    L’I.A. telle que le ChatGPT qui se profile, reste un enjeu important sur la vie privée et
    professionnelle. L’Éducation, la Formation, l’Emploi ont des conséquences lourdes sur nos
    facultés cognitives et notre avenir. A vous de voir ce que pouvez faire et en faire...

     

  • Rappel Conférence sur l’ I. A. du 18 mars 2022

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    Rappel Conférence sur l’ I. A. du 18 mars 2022

    « Préparons Demain »

    20 janvier 2023

    Présentation et Intérêts de l’I.A. …
    Intégration de l’I.A. dans notre vie professionnelle :
    en ’Entreprise, au Travail, dans les Ressources…
    Mise en garde de l’inclusion numérique dans notre vie (4 à 7 h/Jour)…
    A votre avis :
    Est-ce que nous dominons la technologie ou la technologie nous domine ?
    Nous avons vu la mutation du travail en télétravail : + ou – 30 % aujourd’hui…
    Comment prendre son destin en main en donnant du SENS à sa vie…
    La mutation du Capital et de l’Etat : en Cap-IA-lisme et en Total-IA risme…
    Je conclurai en vous disant que l’ensemble de notre vie est perché dans le Cloud
    aux mains des GAFAM… et les GAFAM nous offre l’immortalité de toutes nos
    connexions… Demain votre ordinateur sera même QUANTIQUE… et Alors ?
    L’I.A est partout… ! Une grande partie de notre Big Data est aux USA …!
    Et depuis cette conférence 4 livres en suggestion :
    - 21 leçons pour le 21 ème siècle d’HARARI l’auteur de Sapiens (chasseur/cueilleur
    _ Rien ne va, MAIS… de François LENGLET
    - L’HOMME sans contact de Marc DUGAIN et Christophe LABBé
    - Paroles d’Honneur – lettres à la jeunesse du Général Pierre de VILLIERS
    Et 2 bombes :
    - Le livre très NOIR sur les mutuelles de Daniel ROSENBERG-
    - Cartel 2 – Fraudes sociales et fiscales de l’ex Magistrat Charles PRATS
    Merci de votre attention. Je vous souhaite une très belle année.

  • Reflexion sur l’avenir de la Médecine libérale par BERTRAND DUCLOS

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    Bertrand DUCLOS, Medecin, Membre du bureau Chiffres et Citoyenneté

     

    Médecine libérale : Passer la consultation à 50 euros.
    Or celle-ci a été revalorisée de plus de 40 pour cent en 20 ans.
    Bizarre. Essayons une explication-bilan.
     
    D’emblée mettons de côté l’exercice de la Médecine en entreprises, la Médecine du travail ou la Médecine de PMI et les Médecins fonctionnarisés donc les tous les médecins salariés à rémunération mensuelle avec salaire versé par les organismes qui les emploient ; en effet la problématique de la tarification de l’acte médical ne se pose pas dans ces cas précis, même si on peut se poser la question de l’attractivité de ces secteurs médicaux .
    La grogne actuelle sur le niveau de  tarification de l’acte de base du médecin, la CONSULTATION MEDICALE, qui prend de l’ampleur aujourd’hui concerne les 140.000 praticiens de Médecine Libérale dont 44% sont généralistes et les autres spécialistes.
    C’est pour cette catégorie que se pose cette demande de 50 euros.
    Cette question est cruciale pour garantir une juste rémunération des praticiens mais aussi pour redonner à la Médecine de Ville l’attractivité nécessaire pour résoudre les enjeux énormes de l’accès à une Médecine de qualité sur l’ensemble du territoire.
    Monter à 50 euros sera le point de départ de la revalorisation progressive de tous les actes médicaux et paramédicaux. L’ensemble de la filière santé est concernée et les Français qui vivent dans les déserts médicaux savent au quotidien de quoi il s’agit, zones rurales d’abord et maintenant centres hyper-urbains.
    Valoriser pour attirer
     
    La décision de faire médecine repose certes sur la certitude d’exercer un métier qui a besoin de bras mais s’appuie sur une vocation visant à s’occuper des autres. Le corollaire salutaire est de pouvoir constater rapidement l’efficacité rapide de son action : angine, paracentèse, chirurgie de fracture, cataracte, réanimation. Le médecin voit, suit et qualifie l’évolution favorable chez le patient.
    S’ajoute la notion de don de soi, et une motivation du futur médecin avec une promesse d’empathie avec le patient, écoute réciproque, relation interpersonnelle inhérente à une haute idée de la Médecine telle qu’elle appliquée depuis Hippocrate.
    L’écoute du patient , l’acte technique avec reconnaissance du malade et de la société, l’arrivée et le développement des outils technologiques renforcent encore l’importance de cet engagement professionnel moral et éthique.
    Ce n’est pas au médecin de donner un prix à ce qui n’en a pas.
    C’est à la société de reconnaître la valeur de l’action de ceux qui se consacrent au  « Vivre en Bonne Santé », pilier fondamental d’une richesse collective et gage d’harmonie sociale.
    Parler d’augmentation de l’espérance de vie, d’avancée en âge en bonne santé, de prévention, d’autonomie des personnes du troisième et du quatrième âge, et constater l’abandon par les services publics de la Médecine de Ville est choquant. 
    Simplifier pour attirer.
    Long sacerdoce, ces études de carabin : d’abord réussir  le concours en Première Année Commune aux Etudes de Santé ( PACES), concours jugé absurde par beaucoup en concurrence acharnée avec bachotage et forte motivation pour être dans les 13 % de reçus en Médecine.
    Le bilan aujourd’hui est pour le moins contrasté :
    La population de spécialistes en augmentation de 3.2% depuis 2012 alors que parallèlement celle des généralistes diminue de 8.5%. Et pourtant c’est la démographie de ces derniers qui est la plus en état d’alerte : le tiers des médecins généralistes a plus de 60 ans !!!
    Le nombre de médecins augmente moins vite que la population française -2.2%  entre 2012 et 2021.
    Néanmoins, l’âge moyen des médecins libéraux est de 49.3 ans (50 ans en 2012), la féminisation participant au rajeunissement de la moyenne.
    Le jeune médecin va calquer son activité sur la vie de ses amis, en limitant ses heures de consultation souhaitant préservation de sa vie de famille et  temps libre.
    Le non-respect de la Médecine Libérale particulièrement par les autorités de tutelles (ministère, administrations diverses, caisses paritaires de la Sécurité Sociale…) l’a fait descendre de son piédestal. La prise de conscience s’est faite réelle et brutale par le corps médical ; elle devrait intervenir rapidement par les autorités de tutelle. Elle le sera aussi par les Français constatant la dégradation de l’offre de soins, surtout celle de proximité.
    L’exaspération de la profession et  l’inquiétude latente des patients, favorise cette ambiance morose  accentuée par l’interférence des sources internet souvent de légitimité et de sérieux douteux ; le relâchement sociétal généralisé, l’irrespect et l’agression des professionnels, la mise en doute des  compétences par des patients, en faut-il davantage pour détourner les bonnes volontés de la Médecine ?
    Et pourtant, du côté des consultations, le remboursement des produits pousse le patient à consulter pour « faire son marché » pour une prescription de Paracétamol ou des bas de contention.
    Le côté libéral est une illusion :
    -contrôle régulier de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie et des médecins conseils. Il s’exerce un contrôle du nombre d’actes du praticien, des examens complémentaires et du contenu des ordonnances,  
    -quantité chronophage de documents administratifs (pondus par l’administration  et normalement demandés par le patient),
    -augmentation des obligations de formation continue (réduisant ainsi le temps de travail),
    -basculement progressif d’une obligation de moyens à une obligation  de  résultat,
    -l’obligation d’une formation continue indispensable dans une telle profession,
    Et ce n’est pas tout :
    -l’augmentation régulière et importante des prélèvements et des charges sur les honoraires entrainant une diminution du bénéfice et un handicap pour l’embauche de personnel.
    -et l’idée latente d’une obligation de stage en zone défavorisée et d’une régulation des installations.
     
    Le médecin vissera sa plaque là où on lui dira et prescrira ce qu’on lui dira.  
     
    Quoi d’étonnant alors que la proportion de médecins étrangers s’installant en France soit en diminution, et que les étudiants français aient envie d’effectuer leurs stages de fin d’étude à l’étranger.
    Le revenu brut du Médecin Généraliste est environ de 90.000 euros et celui du spécialiste de 150.000 euros. Brut, donc il convient de diminuer ce chiffre de la moitié au moins par les charges liées à l’exercice ( URSSAF, Caisse de Retraite des Médecins Français, achat ou leasing de matériel, location et remboursement d’emprunt et les frais de personnel) et sur le chiffre restant payé l’impôt sur le revenu.
     
    Alors pourquoi cette demande d’une consultation à 50 euros ?
    Dès lors, augmenter à 50 euros est une requête qui va permettre l’embauche de personnel, un respect des revenus pour une profession entrant de façon tardive dans la vie active, un respect de la hiérarchie des études et le maintien des cabinets médicaux.
    En écoutant la demande des praticiens, vous entendrez d’abord l’envie d’une double libération : de leur tutelle et  des charges administratives et matérielles. L’augmentation de leurs revenus n’intervient qu’après.
    L’adjonction des professions para-médicales soulagera la  profession, les infirmières par exemple vont devenir indispensables pour effectuer les soins à domicile avec du matériel connecté  transmettant les données au médecin référent.
    50 euros parce qu’il faut redonner très vite à cette profession une attractivité qui se perd, donc pouvoir augmenter le nombre de médecins sur le terrain, libérer les praticiens des tâches administratives et redonner ainsi à cette profession son respect et son éclat