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Échanges et Rassemblement - Page 77

  • Dans Mediabask

    https://www.mediabask.eus/fr/info_mbsk/20210902/au-pays-basque-valerie-pecresse-affirme-son-soutien-aux-langues-territoriales

    Article

    Valérie Pécresse était en déplacement le mercredi 1er septembre au Pays Basque et en Béarn. La présidente de la Région Île-de-France, qui a quitté le parti Les Républicains (LR) en 2019 pour fonder son propre mouvement (Libres !), est candidate aux prochaines élections présidentielles qui se tiendront en avril 2022.

    L'élue de droite a été reçue par quatre représentants LR de la côte basque : la maire de Biarritz Maider Arosteguy, le maire d'Anglet Claude Olive, le maire de Saint-Jean-de-Luz Jean-François Irigoyen et le sénateur Max Brisson. Nicolas Patriarche, secrétaire départemental des Républicains, était également présent. Au menu des échanges avec eux : la qualité des eaux de baignade et les langues territoriales, notamment.

    Valérie Pécresse s'est déclarée favorable à l'enseignement immersif de la langue basque, estimant qu'il s'agit de transmettre un « patrimoine ancestral » et une « langue de communication » qui « permet une coopération » avec le Pays Basque Sud. Pour autant, elle est contre la modification de la Constitution, car comme le veut l'article 2 du texte de loi, « le français est la langue de la République ».

    La base LR se prononcera le 25 septembre

    Valérie Pécresse n'est pas candidate à la primaire de la droite mais à la présidence de la République. Toutefois, si une primaire s'organise elle y participera. « Je préfère une compétition maintenant qu'une division demain » a-t-elle justifié.

    Sur le terrain, les militants LR « se passeraient bien » d'une primaire, confie à MEDIABASK Henri Levréro, délégué LR de la 6e circonscription des Pyrénées-Atlantiques. Ils préféreraient que le départage soit le résultat d'un consensus. Le parti décidera du « processus de rassemblement » le 25 septembre prochain.

  • Diner débat Aout

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Maitre Denis MAZELLA, Avocat au barreau de Bayonne spécialisé en droit des sociétés, Avocat référent de « Cap redressement », pour un dîner débat sur le thème :
    « Protéger et conseiller les dirigeants grâce aux mesures de prévention des difficultés des entreprises »
    L’automne risque d’être compliqué pour beaucoup d’entreprises au moment d’affronter les difficultés économiques liées à la pandémie.
    Devant cette situation qui n’épargnera pas le pays basque, des avocats du barreau de Bayonne, regroupés sous l’entité "Cap Redressement" veulent alerter à la fois leurs collègues et les entrepreneurs sur l’existence de solutions, avant de se retrouver au tribunal de commerce pour prononcer la liquidation judiciaire d’une entreprise.
    « Il y a à la fois une méconnaissance des procédures et une crainte du tribunal de la part des dirigeants. Le but de Cap redressement est d’éviter au maximum les faillites des entreprises. On distingue toujours les mêmes symptômes, il s’agit de conseiller les bons traitements » constate, Maitre Denis Mazella.
    « Les chefs d’entreprises n’ont pas le réflexe d’aller au tribunal de commerce, d’autant qu’en France, on n’a pas la culture de l’échec, c’est mal perçu et dans la plupart des cas, quand ils arrivent, c’est trop tard. Les dirigeants ne connaissent pas l’arsenal de préventions qui permet de stopper l’hémorragie » poursuit Denis Mazella.
    Parmi les procédures, l’avocat cite la conciliation, la conciliation ciblée, le mandat had hoc et la sauvegarde qui présente les mêmes garanties que le redressement judiciaire, en ayant l’avantage de ne pas engager la caution personnelle du dirigeant. Ces mesures évitent la cessation de paiement.
    Cap redressement organise ainsi des formations pour les professionnels en contact direct avec les dirigeants d’entreprises
    « Parfois, les chefs d’entreprises sont mal renseignées parce que leurs conseils ignorent les procédures. Cela peut s’avérer dramatique pour des gens qui perdent leur entreprise, leurs salariés, et même leur famille. Il faut préserver notre tissus économique » plaide Maitre Mazella
    Le débat s’est poursuivi avec les témoignages de trois chefs d’entreprises qui sont passés par des périodes de redressement judiciaire, puis par un échange riche avec l’ensemble des participants
     
    Retrouvez les photos
  • dans la semaine du pays basque

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