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Diners-débat

  • Diner débat AVRIL 2025

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    Une soixantaine de personnes se sont retrouvés autour de Ronan PAUGAM, directeur d’ASTRO 64 pour un dîner débat sur le thème :

    « Explorer les astéroïdes permettra-t-il de protéger la terre ? »

    Pourquoi s’intéresser aux astéroïdes ?

    Ce sont des objets rocheux, vestiges de la formation du système solaire, qui tournent autour du Soleil. La plupart sont très loin, tranquilles dans leur coin. Mais certains s’aventurent un peu trop près de la Terre.

    En 2013, un petit astéroïde de 20 mètres est entré dans l’atmosphère au-dessus de la Russie, à Tcheliabinsk. Il n’a même pas touché le sol, mais l’explosion a été si puissante qu’elle a soufflé des milliers de vitres... Résultat : plus de 1000 blessés. Tout ça à cause d’un caillou gros comme un bus scolaire.

     

    Alors, que peut-on faire ?

     

    La première étape, c’est surveiller le ciel. Et aujourd’hui, des astronomes du monde entier scrutent les moindres mouvements suspects. Ils ont déjà identifié des milliers d’objets proches de la Terre. On les appelle les "NEOs", pour Near-Earth Objects. Ça sonne un peu comme une équipe de super-héros, mais en réalité, ce sont juste des cailloux très motivés.

    La deuxième étape, c’est mieux comprendre ces objets. Et là, on entre dans le domaine de l’exploration spatiale.

     

    Pourquoi explorer ?

    Imaginez : vous voyez une grosse boule foncer vers votre maison. Est-ce que vous préféreriez connaître sa taille, sa vitesse, sa matière ? Ou la regarder arriver en espérant qu’elle prenne une autre rue ?

    C’est pareil avec les astéroïdes. Pour savoir comment les dévier, il faut les connaître. C’est pourquoi des missions comme Hayabusa2 et OSIRIS-REx sont parties prélever des échantillons d’astéroïdes. Oui, on fait du click & collect à 300 millions de kilomètres.

    Et surtout, en 2022, la NASA a lancé la mission DART : une sonde a volontairement percuté un astéroïde pour tester si on pouvait changer sa trajectoire. Résultat : succès. Pour une fois, on a eu droit à une collision dans l’espace... et c’était une bonne nouvelle.

     

    Et maintenant ?

     

    Grâce à ces explorations, on progresse :

    ·         On détecte les menaces plus tôt.

    ·         On comprend comment réagir.

    ·         Et surtout, on peut planifier des actions concrètes en cas de danger.

    Car oui, même si le risque est faible, un astéroïde qui touche la Terre, ça ne laisse pas trop de seconde chance.

     

    Conclusion

    Exploration spatiale, protection planétaire... Tout ça peut sembler loin de notre quotidien. Mais c’est un peu comme avoir une assurance : on espère ne jamais s’en servir, mais on dort mieux en sachant qu’elle existe.

    Alors non, pas besoin de construire un bunker dans votre jardin. Mais oui, il faut continuer à explorer, à comprendre, à coopérer. Parce que protéger la Terre, c’est aussi regarder ce qui se passe au-dessus de nos têtes et c’est surtout se protéger et avancer dans la découverte 

     

    Retrouvez les photos :

    https://photos.google.com/share/AF1QipNaBlzx8Dwlj5_JEiAKtfTl8pvyK_OyI08R62-b2Wv0w1S8hz0O21GkOa4y2A1xIw?key=UjFKNTZ4VkhXa0l5Tmg4MHozaEFZVm9DTFk0YVpn

  • Diner débat Mars 2025

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    Une soixantaine de personnes se sont retrouvés autour de Raphaël VALERE, Président de l’association Base de Reconstruction Egregore pour un dîner débat sur le thème :

    « Accompagner les blessés de guerre sur le chemin de la reconstruction positive »

    L'émouvant témoignage de Raphaël VALERE, blessé en mission en Afrique a précédé la présentation de son association

    Fondée en mai 2023, l'Association Base de Reconstruction Égrégore est née de la détermination de personnes qui connaissent les défis et les cicatrices de la guerre. Gérée par des blessés, leur mission est claire : apporter soutien et espoir à leurs compagnons d'armes et à leurs familles.
    Au cœur de leur approche de guérison se trouve un triptyque puissant : le mouvement, la nature et les animaux. Ils croient en la force curative de ces éléments, offrant une voie vers la reconstruction physique et émotionnelle.
    Avec des moyens modestes, ils ont déjà eu l'honneur d'aider une vingtaine de blessés et leurs épouses. Comment ? En organisant des weekends ressourçant dans des gîtes, imprégnés d'activités en plein air et de bien-être. Ces moments de partage renforcent les liens, apportent la détente et ouvrent des portes vers de nouveaux horizons.

    Retrouver les photos

    https://photos.google.com/share/AF1QipMJB08nemXgbweucryNg33AbYneaP6mECB3Ktkho6B2dxqb5q9TXR3rdCm1nURYvA?key=SE8taEQ1WEhOOWlIajIxNElfS0lkWWFPQkg3VnlR

  • Diner débat Février 2025

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    Une Cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Erwin DAZELLE, artiste peintre, pour un dîner débat sur le thème :

    « Comment fonctionne le marché de l’art »

    Le marché de l’art occupe une place singulière dans l’économie mondiale, non seulement par les sommes importantes qui circulent lors des ventes aux enchères et dans les galeries, mais aussi par l’impact plus diffus qu’il exerce sur divers secteurs économiques et culturels.

    1. Une industrie à multiples facettes

    Le marché de l’art ne se limite pas à la simple transaction d’œuvres. Il regroupe :

    • Les ventes aux enchères et les galeries : Ces intermédiaires facilitent la rencontre entre artistes, collectionneurs et investisseurs.

    • Les foires et salons internationaux : Ils contribuent à la visibilité des œuvres et à la dynamisation des échanges à l’échelle mondiale.

    • Les plateformes en ligne : La digitalisation bouleverse les modes de vente et de diffusion, rendant le marché plus accessible et transparent, tout en posant de nouveaux défis en termes de régulation.

    2. Impact économique direct

    Bien que le volume des transactions, souvent évalué en dizaines de milliards de dollars par an, reste modeste comparé à d’autres secteurs mondiaux, le marché de l’art génère plusieurs effets directs :

    • Création d’emplois spécialisés : Restaurateurs, experts, commissaires d’exposition, agents, et autres professionnels trouvent dans ce secteur des débouchés spécifiques.

    • Investissement alternatif : De plus en plus d’investisseurs considèrent l’art comme une classe d’actifs pour diversifier leur portefeuille, parfois en quête d’une valeur refuge face aux incertitudes des marchés financiers classiques.

    3. Impact économique indirect et socioculturel

    L’influence du marché de l’art dépasse largement le simple cadre économique immédiat :

    • Tourisme culturel et valorisation urbaine : Les expositions, musées et foires d’art attirent des visiteurs internationaux, dynamisant l’économie locale et renforçant l’image des villes (Paris, New York, Londres, etc.) en tant que pôles culturels majeurs.

    • Soft power et diplomatie culturelle : Les œuvres et artistes contribuent à forger l’identité culturelle d’un pays, renforçant ainsi son influence et son attractivité à l’international.

    • Effets sur des secteurs connexes : Le marché de l’art interagit avec la finance (notamment via l’investissement spéculatif et les prêts garantis par des œuvres), l’assurance, l’immobilier et même la technologie (avec l’émergence de solutions basées sur la blockchain pour certifier l’authenticité des œuvres).

    4. Enjeux et défis du marché mondial de l’art

    Malgré ses atouts, le secteur fait face à plusieurs défis :

    • Transparence et régulation : Le marché de l’art reste en partie opaque. Cette opacité, couplée aux enjeux de blanchiment d’argent et de fiscalité, pousse les autorités à envisager des régulations plus strictes.

    • Spéculation et volatilité : La valorisation des œuvres peut fluctuer fortement, influencée par la mode, les tendances artistiques ou encore l’appétit des investisseurs pour des placements alternatifs.

    • Digitalisation et mutation des modes de consommation : Si la digitalisation offre de nouvelles opportunités de diffusion et de vente, elle impose également de repenser les modèles économiques traditionnels et la relation de confiance entre les acteurs du marché.

    Conclusion

    La place du marché de l’art dans l’économie mondiale est à la fois symbolique et tangible. Il sert de baromètre de la richesse culturelle et financière, tout en stimulant des secteurs connexes comme le tourisme, la finance ou la technologie. Paradoxalement, même si son volume économique global est modeste, son influence en termes de rayonnement culturel et de dynamisation des économies locales en fait un acteur incontournable dans un monde de plus en plus interconnecté et globalisé.

    Retruvez les photos ci dessous

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  • Couscous du nouvel An

     

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    Quel bonheur de vous avoir retrouvé si nombreux ce soir à Saint-Jean-de-Luz pour notre première  rencontre de l’année.
    71 participants : Un record !

    L’occasion d’échanger les vœux, de revenir 18 ans en arrière sur l’origine de nos dîners-débats  et d’aborder 2025 avec ambition pour nos rencontres. Elles seront plus que jamais les rendez-vous de l’amitié et de la fidélité à nos valeurs.
    Merci à tous

    Retrouvez les photos :

    https://photos.google.com/share/AF1QipOJJ_zxnPyyYa6XVKglQZE0znSAFUe-IUkOeW8j86Lah_JS2WjPDKUoR3kSQTBi3Q?key=SnVEb3kwMzUwVFgtdkpvWE5ZS0YxNGotQlVvLTZ3

     

  • Petit déjeuner débat Décembre 2024

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Clément PARAKIAN, pour un petit déjeuner débat, sur le thème :

     

    « Les mots et les maux de l’Arménie »

     

    L'Arménie, au-delà de son histoire tragique marquée par le génocide de 1915, et plus récemment par la prise de contrôle du haut karabagh par l’Azerbaïdjan possède en effet une riche culture qui s'est développée sur plusieurs millénaires. Sa culture, ses traditions, son art et sa langue ont traversé les âges et sont devenus les points communs entre la France et l’Armenie.

     

    Longtemps Clément Parakian, Président de l’association Agur Arménie s’est fait une incertaine idée de l’Ame arménienne.

    Enfant apatride d’enfants du Génocide de 1915, il voyait l’Arménie comme un pâle reflet d’une grandeur à jamais oubliée voire disparue !

    Puis imperceptiblement, l’image exilée, rêvée et floue des jardins verdoyants arméniens puis ottomans est devenue plus nette en fondu enchaîné. Ces paysages édéniques sont basques et de France ; le sang des vins français a reconnu le vin d’Arche des plaines de l’Ararat ; les poètes ont troqué leurs vers ; les cultures christiques ont échangé leurs croix : en un mot, les Peuples frères et les Ames soeurs se sont tenus la main et le coeur.

    C’est cette Alliance des deux Cultures qui nous sont chères que l’Association Agur Arménie du Pays basque propose de mettre en lumière. L’association adolescente invite tous ses Amis présents et à venir à faire germer et croître les graines culturelles en dormance dans nos terres en danger et/ou qui sont en voie de l’être.

    Retrouvez les photos ci-dessous

    https://photos.google.com/share/AF1QipNluTQ5TRzKGA_4Iv0FdSSXlTq_slapG1zf3DiNW2PfyWNDotUIiYdvoypRQo0Xug?key=Y2FPU2w4VU9jSHZkTElCeUlXZ0pRcEJ6Y2EwODln