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Diners-débat - Page 3

  • Diner débat Juin 2024

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Jean-Luc LESURE, Vice-Président de la Banque Alimentaire de Bayonne et du Pays Basque, pour un dîner débat sur le thème :
    « Banque Alimentaire : Lutter contre la précarité alimentaire »

    Les Banques Alimentaires ont été fondées sur des principes qui régissent encore le quotidien des 79 Banques Alimentaires et 31 antennes : la gratuité, le partage, l'équité, le don, le bénévolat et le mécénat.
    40 ans après la création de l’institution le cap est toujours le même.
    Le 13 mars 1984, La Croix publie une tribune intitulée « J’ai Faim », écrite par Sœur Cécile Bigo, dénonçant le scandale de la pauvreté qui cohabite avec le gaspillage de denrées alimentaires. Dans cette lettre, Sœur Cécile Bigo écrivait ces mots «…Quelle est la personne de génie qui surgira et aura assez d’astuce pour mettre en place, avec d’autres, le procédé de récupération rapide et efficace des aliments avant qu’ils ne soient jetés dans nos poubelles…». De cette étincelle éditoriale est né le 1er réseau d’accompagnement alimentaire en France, sur le modèle des Food Banks américaines, sous l'impulsion de Bernard Dandrel (un banquier qui milite au Secours Catholique) et de 5 associations (Secours Catholique, Emmaüs, Armée du Salut, Entraide d’Auteuil et Entraide protestante).
    Ce sont les dons des grandes entreprises alimentaires, des surplus des fonds européens, et des dons de citoyens quand ils font leurs courses qui approvisionnent les Banques Alimentaires.
    Aujourd’hui ce sont plus de 2,4 millions de personnes qui sont aidées.
    En 2024, 40 ans plus tard, dans une société de plus en plus précarisée, la raison d’être des Banques Alimentaires est plus que jamais d'actualité…

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  • Diner débat Mai 2024

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour d’Aurélie LAROUSSIE, Présidente de l’association FFOC (Femmes des Forces de l’Ordre en Colère) et de Delphine BERDET (Trésoriere) pour un dîner débat sur le thème :  

    « Quel quotidien pour les familles des forces de l’ordre »  

    « Sous l'uniforme, il y a un papa, un mari, un fils, une sœur ! » rappelle aurélie Laroussie Présidente des FFOC (Femmes des Forces de l’Ordre en Colère). Elle dénonce ainsi les « agressions à répétition », « l'irrespect », les menaces sur leurs familles mais aussi les « conditions de travail déplorables » dont sont victimes leurs époux. Les revendications de FFOC sont simples : simplification et anonymisation des procédures judiciaires afin de garantir l'anonymat de leurs époux et leurs familles par ricochet , une justice plus ferme pour les agresseurs, la reconnaissance de la "discrimination professionnelle" et la mise en place d'un « réel accompagnement » (psychologique, aides sociales), en cas d’agression. De même, d’année en année, les budgets consacrés à la sécurité et à la défense sont amoindris, laissant les forces de l'ordre sans moyens de se protéger. De la même façon, les périodes de repos raccourcissent et la vie de famille en pâtit de plus en plus ainsi que les difficultés du système des mutations .   Sur les réseaux sociaux, les incitations à la haine envers les familles de policiers se multiplient. Pour les enfants, la consigne est : « Surtout ne dis pas que ton père est policier ! ». Sans oublier la « discrétion », pour préserver un semblant de vie privée, fait aussi partie des revendications de FFOC : Par exemple éviter de recevoir sa fiche de paie par la poste, dans une enveloppe de la Police nationale. Il n'y a pas mieux pour se faire repérer. C’est un combat de longue haleine que mène Aurélie Laroussie avec l’association FFOC, mais son ardeur à porter cette lutte n’a d’égal que sa détermination

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  • Diner débat Avril 2024

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Valérie BIGNÉ, Conseil en management et ressources humaines pour un dîner débat sur le thème :

    « Management : quand l’excès de bienveillance nous contraint »

     Quelles que soient les raisons qui nous ont poussés à devenir Manageur, cette fonction choisie ou récompense d’un engagement professionnel assidu revêt des enjeux qui dépassent la liste des missions exhaustives dépeintes usuellement.
     Au cœur du rôle de Manageur, la relation à l’autre est plus que jamais omniprésente, et, elle dépasse même les tâches du métier.
     Ainsi chaque action, chaque choix, chaque mot, parfois même chaque intention, chaque non-dit, chaque silence, auront un impact sur les collaborateurs.
     Face à ces constantes pressions internes et externes, la notion de bienveillance longtemps brandie comme une réponse miraculeuse peut devenir un puit sans fond oú ses écueils peuvent faire craindre la noyade.

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  • Diner débat Mars 2024

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    Une soixantaine de personnes se sont retrouvés autour de Jonathan HERSCOVICI, fondateur de StackinSat et de Surfin’Bircoin pour un dîner débat sur le thème :

    « Tout ce qu’il faut savoir sur le Bitcoin»

    Le bitcoin est une monnaie virtuelle, elle a été créée en 2008, en pleine crise des subprimes. La finance internationale était sans dessus dessous, avec des faillites de banques comme Lehman Brothers. L'idée des créateurs du bitcoin, c'est d'être indépendants vis-à-vis des banques centrales et des États, alors que tout le monde à l'époque doutait du système financier. Le bitcoin ne sera pas de la monnaie sonnante et trébuchante, c'est en fait un programme informatique qui va créer cette cryptomonnaie. Et la quantité de bitcoins est limitée à 21 millions d'unités.

    Géré par un réseau informatique mondial

    Toutes les transactions réalisées entre les utilisateurs sont répertoriées dans un grand registre informatique appelé blockchain. À chaque transaction, ce livre de compte numérique se met à jour. La monnaie peut être utilisée dans des pays qui n'ont pas suffisamment confiance dans leur monnaie, dans des économies instables. Par exemple, le Salvador (en Amérique centrale) a adopté le bitcoin comme monnaie officielle à côté du dollar. La cryptomonnaie est aussi utilisée dans des pays développés, notamment les États-Unis.

    Une monnaie à forte valeur spéculative

    Comme  la quantité de bitcoin est limitée, les investisseurs en achètent en se disant que ça va prendre de la valeur. C'est devenu une monnaie de thésaurisation, certains parlent "d'or numérique". Seulement, après avoir grimpé à des niveaux stratosphériques (68 991 dollars pour un bitcoin en novembre 2021), la cryptomonnaie a pris un gros coup de barre, qui lui a fait perdre plus des trois-quarts de sa valeur à la fin de l'année 2022. À cette époque, des plateformes d'échange de cryptomonnaie comme FTX ont fait faillite, il y a eu des scandales.
    Mais depuis peu, la frénésie est repartie, des fonds d'investissement basés sur le bitcoin ont été lancés récemment et validés par les autorités de la bourse de New York, ce qui a dopé l'enthousiasme des investisseurs et poussé la valeur de la monnaie virtuelle vers de nouveaux sommets. En février, en seulement un mois, le bitcoin a décollé de 40%.

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