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Diners-débat - Page 6

  • Diner du Nouvel An

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    Quel bonheur de vous avoir retrouvé si nombreux ce soir à Arbonne pour notre première  rencontre de l’année.

    L’occasion d’échanger les vœux, de revenir sur l’année 2022 et d’aborder 2023 avec ambition pour nos dîners-débats. 

    Ils seront plus que jamais les rendez-vous de l’amitié et de la fidélité à nos valeurs.

    Maïder Arosteguy retenue à la cérémonie d’ouverture du FIPADOC, c’est George Philip Chartier, son compagnon, qui nous a transmis ses vœux amicaux et gaullistes 

    Merci à tous

    Retrouvez les photos ci dessous

    https://photos.google.com/share/AF1QipP9VqEeYWCTS3FhSTxNAFeJuRlcACf4y8klTW81cXlh7h7RkxlTjOl8TQJ_CpMjyA?key=d2VQWWI2c3JLOUp5UlVyLUdTYkw2TDVjdk1MclBB

  • Petit déjeuner débat Décembre 2022

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Éric CHAPUIS, Délégué Territorial Pays Basque de la DDTM 64, pour un petit déjeuner débat sur le thème :
    « Quelle gestion durable du trait de côte au Pays Basque »
     
     
    La loi « Climat et résilience » contient de nombreuses dispositions à l’adaptation des territoires aux effets du dérèglement climatique. Le texte prévoit notamment que les communes impactées par le recul du trait de côte figurent dans une liste fixée par décret, révisée tous les neuf ans. C’est le cas des communes de la Côte basque. 
 
Les collectivités devront en tenir compte dans leur politique d’aménagement et documents d’urbanisme en définissant des zones d’exposition au recul du trait de côte à moyen terme (d’ici trente ans) et à long terme (dans trente à cent ans).
 
 Depuis 2017, en lien avec les communes du littoral basque, la Communauté Pays Basque déploie un programme d’actions pour prévenir les risques à long terme, grâce à la stratégie locale de gestion des risques littoraux (évolution du trait de côte, prévention des tempêtes, lutte contre l’érosion). Celle-ci intègre les projections du Trait de côte, aux horizons 2023 et 2043, produites en 2014 par le Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM).
 
Afin de répondre aux exigences réglementaires de la loi et en cohérence avec son rôle de chef de file sur le sujet, la Communauté Pays Basque a confié au BRGM la réalisation d’une étude pour les horizons +30ans et +100ans. Ce travail a débuté dès le premier trimestre 2022 en concertation avec les différentes acteurs concernés (communes, Etat, Région, Département, Syndicat du SCOT, GIP Littoral,…).
 
 Le Pays Basque est pionnier sur le sujet avec notamment la mise en œuvre cette année d’un Projet Partenarial d’Aménagement (PPA) à Saint-Jean-de-Luz pour s’adapter au recul du trait de côte. Premier projet de ce type au niveau national, son objectif est de replier les activités humaines vers l’intérieur et de rendre le rivage à la nature, qui constituera une barrière naturelle contre la montée des eaux.
     
    Retrouvez les photos :
     
  • diner débat Novembre 2022

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Jean Louis DUFAU, coordonnateur Projets de la Délégation Aquitaine de l’ONG Électriciens sans frontières, pour un dîner débat sur le thème :
    « Comment lutter contre les inégalités d’accès à l’eau et l’électricité »
    Electriciens sans frontières, ONG de solidarité internationale reconnue d’utilité publique, mène des projets d’accès à l’électricité et à l’eau pour que les populations les plus démunies aient un accès durable à une énergie fiable, abordable et la plus propre possible.
    Grâce aux compétences de ses 1300 bénévoles, des communautés, souvent rurales et isolées, voient leurs conditions d’éducation, de santé et de soins et de développement économique s’améliorer grâce à des services énergétiques modernes et une eau de qualité.
    Elle met aussi son expertise au service de nombreux acteurs de la solidarité internationale pour sécuriser leurs installations électriques à travers le monde. Enfin, ses bénévoles sont également mobilisables pour des missions d’urgence lors de catastrophes humanitaires.
    Les bénéfices de leur action :
    L’énergie est un formidable levier de développement humain et économique. Sans accès à l’électricité, il est difficile de se soigner, d’accéder à une eau de qualité, d’étudier, de créer des activités économiques, de sécuriser les rues… Pour répondre aux besoins énergétiques des populations tout en luttant contre le dérèglement climatique, l’utilisation d’énergies renouvelables est incontournable. Les projets que nous menons reposent avant tout sur l’utilisation de l’énergie procurée par le soleil ou par les cours d’eau.
    Permettre le développement humain et économique :
    En mettant en place des projets d’accès à l’eau et à l’électricité afin de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations qui sollicitent l’ONG.
    Agir en situation d’urgence et de post-urgence :
    L’électricité est vitale dans les situations d’urgence humanitaire. Ils interviennent auprès d‘ONG pour qu’elles agissent dans les meilleures conditions possibles et pour aider les populations sinistrées.
    Mettre notre expertise au service des autres :
    Ils répondent aux besoins d’acteurs de la solidarité internationale. Ils leurs apportent leur expertise en matière d’accès à l’énergie et à l’eau dans la mise en œuvre de leurs projets dans leurs pays d’intervention.
     
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  • Diner débat Octobre 2022

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Didier RICHÉ, ancien directeur de l’aéroport Biarritz Pays Basque, pour un dîner débat sur le thème :

    « De la nécessité de décarboner l’économie»

    Dans cette conférence, nous avons essayé d’expliquer pourquoi nous sommes devenus accros aux combustibles fossiles, au point que la moindre difficulté d’approvisionnement, même passagère nous place instantanément en état de stress. Nous avons vu aussi pourquoi nous en passer, totalement ou partiellement, n’est plus UNE hypothèse, mais la seule qui s’envisage à une échéance pas très lointaine.

    Basée sur une énergie très bon marché (quoi qu’on en dise, et nous avons vu pourquoi), l’économie mondiale a connu ces dernières décennies une croissance qui confine à l’emballement. Charbon, pétrole et gaz ont permis à l’humanité d’immenses progrès en matière d’alimentation, d’hygiène, de santé, d’habitat, de mobilité, etc.. Ils ont aussi décuplé notre capacité à transformer le monde ; pour le meilleur et pour le pire.


    En effet, en contrepartie, ils ont apporté avec eux leur lot de pollutions aux effets délétères dont le dérèglement climatique et l’effondrement de la biodiversité. De risque, nous sommes passés au stade de la réalité et nous sommes en train d’anéantir les bienfaits acquis depuis des décennies : par exemple, combien de temps saurons- nous encore garantir la sécurité alimentaire et sanitaire de l’humanité ? Elles ne le sont déjà plus.

     Dans l’euphorie, nous en avons aussi oublié (ou nous avons fait mine d’oublier) que les réserves de combustibles fossiles ne sont pas inépuisables. Entre les discours rassurants et la probabilité de pénurie, structurelle ou conjoncturelle, nous devrons nous rendre à l’évidence.

     Le dérèglement climatique dont l’origine anthropique n’est plus contestable et l’épuisement inéluctable des ressources fossiles nous conduisent irrémédiablement au sevrage. Nous devons imaginer un avenir en intégrant ces éléments qu'il convient dorénavant de considérer comme postulats.

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  • diner débat septembre 22

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés à la table des docks autour de Franck Cascino, Président de l’association Agir sécurité routière, pour un dîner débat sur le thème :
    « La sécurité routière : Pourquoi ? »
    Même si des progrès importants ont été faits ces dernières décennies en Europe, près de 38 000 personnes perdent encore la vie sur ses routes chaque année, dont près de 4 000 en France. Il reste là aussi beaucoup à faire pour réduire les risques de décès et traumatismes sur les routes. Outre le poids émotionnel et financier élevé pour les familles touchées, les accidents de la route ont un coût économique et social global, correspondant dans la plupart des pays, à l’équivalent de 1 à 3 % du PIB. En France, leur coût annuel dépasse les 25 milliards d’euros.
    L’amélioration de la sécurité routière est l’une des plus grandes priorités de Franck Cascino, Président de l’association Agir Sécurité Routière. L’association met l’accent sur les conducteurs novices, qui constituent un groupe exposé à des risques élevés. Les pouvoirs publics devraient se fonder sur l’exemple des pays européens qui mettent déjà en œuvre des formations post-permis permettant d’améliorer la perception de la circulation par les conducteurs novices, leur autoévaluation, leurs aptitudes.
    Côté véhicule , D’ici 2025, la quasi-totalité des véhicules neufs vendus dans le monde seront équipés d’un système de connexion permettant le développement de services de réservation, de localisation et l’accès à des applications concernant par exemple l’entretien du véhicule, qui réduiront le nombre de pannes intempestives. Le déploiement de l’E Call pourrait contribuer à sauver jusqu’à 4 000 vies par an en Europe.
    L’automatisation progressive des véhicules jouera un rôle clé dans l’amélioration de la sécurité routière. Les grands acteurs de l’industrie automobile prévoient la mise en circulation de voitures sans conducteurs en 2025. Une révolution qui supposera de nouveaux cadres juridiques appropriés.
    Côté infrastructure, le programme EuroRAP, permet, grâce à un système de notations des routes européennes de sensibiliser le public et de fournir aux gestionnaires des routes des informations de référence sur leurs résultats en termes de sécurité.
    Un audit des infrastructures routières permettrait de supprimer et de protéger les obstacles latéraux et de mettre en place partout des limitations de vitesse cohérentes.
    Je tiens à souligner que c’est avec beaucoup de plaisir que nous avons reçu Maider Arosteguy, Maire de Biarritz, venue en amie participer à notre dîner-débats
     
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