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Diners-débat - Page 8

  • Diner débat Mars

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Michel BERGER, conseil en communication, pour un diner débat sur le thème :

     

    « Intelligence Artificielle : Présentation et intérêt »

     

    L’Intelligence Artificielle est le sujet du moment, un sujet incontournable et en prise directe avec la réalité, y compris dans la situation sanitaire actuelle. Il ne s’agit plus, aujourd’hui, de se demander s’il y a opportunité à introduire ces techniques dans le fonctionnement de sa vie. Il nous faut découvrir l’Intelligence Artificielle. Elle est là pour nous simplifier la vie et nous faire gagner du temps et de l’énergie.

    Si l’intelligence artificielle gagne du terrain chaque jour, le citoyen ne saisit pas forcément les tenants et les aboutissants de ce secteur. L’intelligence artificielle, il y a peu encore anecdotique dans la société, s’impose aujourd’hui comme un facteur incontournable. Elle frappe avec de plus en plus de véhémence à la porte de chaque individu, comme en témoigne la course à la voiture autonome qui bat son plein, les drones, le télépaiement, la reconnaissance faciale.

    L’I.A. est déjà là… Elle pose la question, sans doute pour la première fois en des termes forts, de la place de l’humain ? Donc choisir en conscience plutôt que subir… Nous devons nous préparer à un futur prévisible… à gérer l’inclusion numérique au Travail…

    Retrouvez les photos en cliquant sur le lien ci-dessous :

    https://photos.google.com/share/AF1QipNf8eG3iJR7PDhzAfAv59yvZG0Xdj0Ede97h91gejUHHK4EfMYVubeUPL2d-gpKxw?key=aXc4WmFsNzh5QklVeHpCSktHRkpGSTJOSnJuNERn

  • Diner débat Février 2022

     

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de

    Jean-Yves VIOLLIER, fondateur de l’association RamDam64-40,

    pour un dîner débat sur le thème :
     
    « Éthique et Politique»

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    Avec RamDam, le rire comme arme de la démocratie

    Créée en 2017, l’association citoyenne se veut un observatoire critique de la vie publique dans les Landes et les Pyrénées Atlantiques.
     
    Est-il normal en 2022 qu’un député comme Vincent Bru n’aille jamais chercher ses courriers recommandés, alors qu’il bénéficie d’un crédit collaborateur de 10 581 euros en plus de ses indemnités de fonction ? Peut-on raisonnablement travailler à plein temps au ministère de l’Agriculture, tout en étant conseiller municipal à Bayonne en charge du numérique, conseiller départemental et membre du conseil permanent de l’Agglo comme Olivier Alleman ? Qui peut expliquer pourquoi, en dehors d’intérêts financiers à préserver, le conseiller communautaire Mathieu Bergé vote contre la LGV à l’Agglo puis s’abstient deux jours plus tard à la Région où il vient d’être élu ? Pendant combien d’années encore, les élus vont-ils bénéficier d’un régime fiscal particulièrement favorable et très différent de celui des citoyens ordinaires, alors que les indemnités touchées s’apparentent pour certains à des salaires de cadres très supérieurs ? Et savez-vous que pour accéder aux données chiffrées sur votre commune, comme le prévoit la loi numérique de 2016, vous devez aller sur le site www.gouv.fr et donner votre identifiant fiscal, ce qui est une façon de dissuader le plus grand nombre ?
    LES ZONES GRISES DE LA VIE PUBLIQUE
    Contrairement à Anticor, qui ne traque que l’illégal, RamDam 64-40, l’association des citoyens décidés à se faire entendre, s’intéresse aux zones grises de la vie publique, à ce qui n’est pas très moral même si ce n’est pas illégal. Comme cet aveu de Sophie Borotra, fille de l’ancien maire de Biarritz, qui reconnaîtra devant les journalistes avoir été pendant des années l’assistante parlementaire de son père… alors qu’elle vivait à Bogota ! Et au lieu de batailler dans les prétoires, nous préférons le rire, qui semble embarrasser beaucoup plus durablement des élus, qui bénéficient de la protection fonctionnelle et ne déboursent rien quand des citoyens les traînent devant les tribunaux.
    LA SÉPARATION AVEC ANTICOR
    RamDam 64-40 a été créée en 2017, principalement par des anciens d’Anticor, association que nous respectons même si nous avons décidé de procéder autrement et de devenir un observatoire critique de la vie publique des Landes et des Pyrénées-Atlantiques. Les membres fondateurs sont, dans l’ordre alphabétique, Guy AUBERTIN, Dominique De LA MENSBRUGE, Michel GELLATO, Dominique LAPIERRE,  Jacques-André SCHNECK, Jean-Yves VIOLLIER et nous avons très vite été rejoints par Béatrice CHEVÉ, François BERLAND et Philippe MOREL. Comme nous étions de sensibilités politiques très différentes, nous nous sommes réunis régulièrement pendant six mois, avant d’acquérir la conviction que nous étions capables de travailler en commun sur la question de la moralisation de la vie publique.
    LES PREMIÈRES RÉUNIONS PUBLIQUES
    Après avoir déposé nos statuts à la préfecture début 2018, nous avons organisé nos premières réunions publiques à la Maison des Associations de Biarritz. Nous pensions sincèrement que nos auditeurs allaient se compter sur les doigts d’une main et avons eu la surprise de rassembler 80 personnes. Puis plus d’une centaine lors de la remise annuelle de nos klaxons et harpes aux élus les plus méritants. Même succès lorsque nous nous sommes lancés dans des réunions plus techniques comme le fonctionnement des SEM (Sociétés d’économie mixte) ou le MDI (Minimum Démocratique Indispensable) au moment des municipales. dans la salle du conseil permanent de l’Agglomération.
     

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    Que ce soit à la maison des Associations de Biarritz ou à l’Agglo, les réunions publiques de RamDam sont très suivies.

     

    UN RÈGLEMENT INTERNE DRACONIEN

    Très vite, nous nous sommes rendus compte que des é
    lus étaient intéressés par notre démarche. Comme nous ne pensons absolument pas que les élus sont tous pourris, nous avons simplement mis en place des « filets de sécurité » pour que RamDam 64-40 puisse fonctionner sans heurts. Pour éviter la griserie du pouvoir, le président de l’association change tous les ans. Le rôle du nouvel élu est de penser dès le premier jour de son mandat à celui qui sera le plus apte à lui succéder. De même , nous faisons une distinction entre les sympathisants qui paient une cotisation annuelle de 20 euros et les membres qui paient 35 euros. Les sympathisants reçoivent une lettre mensuelle de l’association où on les informe de nos actions et ont le droit de participer au vote final pour les klaxons et les harpes. Un élu peut parfaitement être sympathisant de RamDam 64-40. Les membres s’engagent avec n’avoir aucun lien avec la vie publique et à participer à la rédaction d’articles en couvrant une partie du territoire. Pour cette raison, deux de nos fondateurs, Jacques-André Schneck, lorsqu’il a été candidat aux municipales à Biarritz, et Philippe Morel, lorsqu’il est redevenu secrétaire départemental de l’UDI, ont quitté le bureau pour redevenir simples sympathisants.
    UNE REMISE EN QUESTION AVEC LA PANDÉMIE
    Le confinement, en privant RamDam 64-40 de son ADN, c’est-à-dire du contact avec les citoyens, nous a sérieusement obligé à nous remettre en cause. C’est une grande fierté et sans doute un signe de motivation extrême : malgré des conditions difficiles, nous sommes toujours restés en contact et avons réussi à continuer à travailler. En septembre 2020, nous avons décidé de lancer un blog Jamais Trop de RamDam www.ramdam6440.fr pour ne pas perdre le contact avec nos sympathisants. Avec 3000 visiteurs uniques en moyenne par article, nous sommes confortés dans le sentiment de faire œuvre utile.
    UN MAILLAGE DE PLUS EN PLUS DENSE DU TERRITOIRE
    Il y a une quinzaine d’années, Didier Borotra affirmait dans Sud Ouest : « Il suffit de trouver une trentaine de couillons prêts à vous suivre et après on fait à peu près ce que l’on veut comme maire ». Cette vision d’un élu qui n’a de comptes à rendre à personne si ce n’est en fin de mandat, est en train de changer. Nous avons le sentiment que de plus en plus d’élus comprennent ce que cherche à faire RamDam 64-40… Même si certains élus des Landes, comme les maires de Benquet et de Messanges nous ont menacé de procès en diffamation avant de se rétracter. Ou si le maire d’Hendaye, Kotte Ecennaro est allé se plaindre dans tous les médias pour son klaxon d’or au lieu de nous contacter. Rançon de la gloire, de plus en plus de gens, qui s’estiment victime d’injustices de la part de leurs élus, nous contactent. Et nous échangeons souvent avec les élus et ne rédigeons jamais un article sans les interroger auparavant.  
    UN CENTRE DE FORMATION À LA CITOYENNETÉ
    Ramdam a bien l’intention en 2022 de poursuivre son chemin et espère pouvoir organiser des réunions publiques sur le thème du logement et des indemnités des élus. Nous souhaitons poursuivre aussi notre observation du département, en trouvant des citoyens motivés et en les aidant à apprendre à surveiller la vie publique. Nous sommes actuellement environ 150 adhérents, mais nous bénéficions aussi de l’aide de nombreux informateurs qui ont de la sympathie pour ce que nous faisons. Nous voulons surtout que les esprits changent et que les élus comprennent qu’il est logique de nos jours que les citoyens s’intéressent à leurs actions.  La première fois que nous sommes venus assister à une réunion publique à Bassussary, à Ciboure ou à Urrugne, il y a toujours eu un élu pour nous demander : « Pourquoi venez-vous ici, alors que vous n’habitez pas la commune ? «  Dans ce cas-là, notre réponse est toute prête : « Nous nous intéressons aux Balkany et pourtant nous n’habitons pas Levallois ».
    Oui, plus que jamais, compte tenu des enjeux politiques, financiers, écologiques, nous sommes persuadés à RamDam que les citoyens doivent s’intéresser à la vie publique et devenir des observateurs attentifs !
    Jean-Yves VIOLLIER
    Pour nous lire : www.ramdam6440.fr
    Pour nous écrire : RamDam 64-40, 15 place Clémenceau, 64100 BIARRITZ
    Pour un contact numérique : ramdam6440@gmail.com
    Pour nous rencontrer : tous les vendredis de 14 à 18 h, à la maison des associations de Biarritz, 2 rue Darritchon (Prendre rendez-vous auparavant)
    Dominique de la Mensbruge : 06 10 40 80 10
    Jean-Yves Viollier                    : 06 61 67 14 11
     

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    Le bureau 2022 de RamDam. De gauche à droite : Dominique Lapierre, responsable des Landes, Dominique de La Mensbruge, président, Pascale Viot, secrétaire, Michel Gellato, trésorier
    et Philippe Morel, porte-parole.
     
    Retrouvez les photos sur le lien ci-dessous
     
     
     
     
  • Diner du Nouvel An

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    Une cinquantaine de participants se sont retrouvés à la cidrerie du fronton à Arbonne à l’occasion du « dîner du nouvel an » ; notre première rencontre de l’année, toujours aussi chaleureuse.
    L’occasion de se souhaiter une bonne année 2022, qui sera une année riche en événements…et pas simplement à cause de la coupe du monde football 
     
    Retrouvez nos comptes rendus de l'année 2020 et 2021
     
     
    Retrouvez les photos
     
  • Petit déjeuner débat décembre 2021

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour du Général Bertrand Soubelet, Vice-Président d’Objectif France, pour un petit déjeuner débat sur le thème :
     
    « Insécurité : La France a-t-elle un cap ? »
     
    Dans une nation moderne, le premier devoir de l’Etat est d’assurer la sécurité de chaque citoyen. C’est le fondement du contrat social qui permet à chacun de s’épanouir et de vivre le plus harmonieusement possible. Or, en France en 2019, la sécurité des personnes et des biens est encore insuffisamment assurée. Le terrorisme menace et tue des innocents, la délinquance continue de peser sur la vie des Français, les voleurs, les casseurs, les fraudeurs, tous ceux qui défient les règles de la vie en collectivité ne sont pas sanctionnés efficacement.
    Dans ce contexte, la chaîne pénale est une réalité qui débute avec la constatation des infractions par les forces de sécurité et se termine par les mesures de suivi et de réinsertion de ceux qui ont fini leur peine. Cette vision globale nécessite l’intégration de toute la chaîne Sécurité-Justice, ce qui inclut naturellement les forces de sécurité civile, notamment les 250 000 sapeurs-pompiers qu’Objectif France reconnaît pleinement comme troisième force de sécurité au service de nos concitoyens.
    Les Français ont exprimé un besoin fort de sécurité à la suite des attentats qui ont frappé la France en 2015, 2016 et 2018 : c’est une priorité d’y répondre. Une remise en perspective de l’ensemble du dispositif, des moyens à la hauteur des besoins et des mesures de prévention totalement repensées, telles sont les clés du succès.
     
    Synthèse en 16 points clés :
     
    Un dispositif global rénové
     
    1 - Recentrer les missions régaliennes de l’Etat et donner une cohérence au dispositif partagé de sécurité, ce qui implique une loi-cadre répartissant clairement les compétences entre l’Etat, les polices municipales et les entreprises de sécurité privée.
    2 - Mieux répartir les forces de police et de gendarmerie sur le territoire. Pour permettre le renforcement en effectifs des zones urbanisées fortement touchées par la délinquance, la gendarmerie doit se réorganiser et prendre la responsabilité de départements entiers, ce qui permettra de redéployer 2 500 policiers dans les zones les plus sensibles.
    3 - Augmenter les effectifs de la police de 2 500, et ceux de la gendarmerie de 2 000 personnels supplémentaires.
    4 - Remettre les maires au centre de la sécurité au quotidien et de la tranquillité publique. Il est essentiel de donner des pouvoirs accrus aux maires en instaurant par la loi l’échange d’informations nominatives entre tous les acteurs de terrain (travailleurs sociaux, bailleurs sociaux, professionnels de la sécurité) et en renforçant les polices municipales (armement, moyens financier et juridiques pour procéder à des contrôles d’identité, de fichiers, dresser des procès-verbaux, prononcer des mesures administratives d’éloignement temporaire de la commune, encourager les initiatives communales d’exécution des peines de travaux d’intérêt général prononcées par la Justice, etc.).
    5 - Renforcer la coopération entre le milieu scolaire et les forces de sécurité à travers un renforcement des équipes mobiles de sécurité (EMS) et la création de groupes d’échanges d’information entre enseignants, EMS, forces de sécurité, magistrats, en y associant les parents concernés pour traiter les situations individuelles le plus précocement possible.
    6 - Remettre la lutte contre la fraude au centre de l’action de l’État. Les mesures comprennent notamment la création d’une agence nationale de lutte contre la fraude regroupant des enquêteurs de tous les ministères concernés, sous la tutelle du ministère de l’économie et des finances, et comprenant, au sein de son conseil d’administration, les corps de contrôles (Cour des comptes, Inspection générale des finances, Inspection générale des affaires sociales, Inspection générale de l’administration), le tout afin de définir une stratégie globale de lutte.
     
    Des moyens dimensionnés à la hauteur des besoins essentiels et des mesures adaptées à la situation
     
    7 - Planifier les moyens consacrés à la sécurité par une loi de programmation et de modernisation sanctuarisée qui définira les investissements, les effectifs et les équipements pour l’ensemble Sécurité-Justice.
    8 - Donner aux forces de sécurité les moyens juridiques de lutter contre la délinquance en instituant un régime juridique particulier « d’état de contrôle renforcé » pour permettre le traitement des quartiers en déshérence, en créant des « task forces » temporaires pour traiter les zones marquées par l’économie souterraine et dans lesquelles les lois de la République ne sont plus respectées, et en transformant les petits délits du quotidien en contraventions avec paiement immédiat, retenue sur salaire ou sur les prestations sociales.
    9 - Lancer un programme ambitieux de construction de locaux pénitentiaires différenciés allant de la prison classique au service militaire de probation en passant par la privation de liberté dans des structures plus légères.
    10 - Lutter de façon implacable contre le terrorisme islamique, ce qui implique, entre autres, de définir un traitement des fichés S au cas par cas, allant de la privation des avantages sociaux jusqu'à l'expulsion, et d’adapter le code pénal pour qu’on puisse condamner ces individus pour intelligence avec l’ennemi.
     
    Instaurer un dispositif de prévention ambitieux et développer la culture de la sécurité
     
    11 - Mettre en œuvre une politique cohérente par un ministère de la jeunesse redéfini regroupant tous les services éducatifs, la supervision des associations de jeunesse, des centres éducatifs renforcés et des centres éducatifs fermés, la protection de la jeunesse actuellement au ministère de la Justice, le pilotage de tous les établissements publics chargés de missions particulières (service civique, centres de l’Établissement pour l’insertion dans l’emploi (ex-EPIDe), service militaire adapté).
    12 - Responsabiliser les parents dans le cadre des dispositifs de réussite éducative et généraliser les conseils pour les droits et devoirs des familles, présidés par les maires en vue de faire strictement appliquer à leur encontre l’infraction pénale du « défaut d’éducation » et les mettre financièrement à contribution en transférant les prestations sociales vers les structures éducatives qui prennent en charge leurs enfants.
    13 - Développer les initiatives de participation citoyenne à la sécurité par le biais de dispositifs du type « voisins vigilants ».
    14 - Reconnaître à leur juste place les acteurs de la sécurité civile, à commencer par les sapeurs-pompiers.
    15 - Proposer un nouveau modèle en faveur du volontariat sapeur-pompier, basé sur des dispositifs incitatifs puissants, comparables à ceux proposés aux réservistes de la police et de la gendarmerie.
    16 - Diffuser massivement la culture du secourisme au sein de la population en s’appuyant notamment sur le réseau des bénévoles des associations agréées de sécurité civile, et en encourageant les modules correspondants en milieu scolaire, lors des journées défense et citoyenneté (JDC) comme dans les concours d’accès à la fonction publique.

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    https://photos.google.com/share/AF1QipNoVBRTJPDxfjnCvP_R24pw6AAvKRUiesjENgnBi7JYgzPlNR1Q1mevrvwA4XHNiw?key=cDVXOTFZaE5xYW5Wc0RHeDVvWk1UcEc3aGxqME9B

  • Diner débat Novembre

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Patxi Bergara, co fondateur d’I-ENER et d’Enargia, pour un dîner débat sur le thème :
    « La transition énergétique au Pays Basque »
    Le cap de Transition écologique et énergétique pour le Pays Basque s’articule autour de 5 orientations stratégiques :
    Être un territoire résilient qui veille à la santé de tous et au patrimoine naturel : préserver l’environnement et les ressources (air, eau, sols, forêts, biodiversité) face aux pressions anthropiques et climatiques ; prévenir de l’exposition aux aléas climatiques et penser l’adaptation autour des solutions fondées sur la nature
    Devenir un territoire à énergie positive à 2050 : diffuser une culture de la sobriété énergétique, accompagner les acteurs dans leurs projets de sobriété et d’efficacité énergétique, et de développement
    des énergies renouvelables en exploitant les potentiels du territoire, en consolidant les boucles énergétiques locales
    Rendre possible des modes de vie et des activités bas carbone pour tous : concevoir, construire/fabriquer et exploiter/consommer des bâtiments et produits à faible impact carbone ; structurer des offres de biens et services pour des comportements de consommation et de mobilité bas carbone
    Innover et changer de modèle économique : soutenir les filières et emplois verts ; intégrer les leviers de l’économie circulaire dans toutes les activités ; créer plus de liens entre les consommateurs et les producteurs du Pays Basque.
    Partager les connaissances et les expériences de transition pour agir ensemble : animer le débat « citoyen » autour des transitions, embarquer les acteurs dans les engagements partagés par le territoire, sensibiliser, informer, accompagner les initiatives diffusés.
    C’est avec beaucoup de plaisir que nous avons reçu la visite de Michèle Alliot-Marie et du Général Bertrand Soubelet venus porter leurs contributions a ce dîner-debat et saluer amicalement les participants.
     
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