Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Diners-débat - Page 8

  • Diner débat Juillet 2022

    IMG_2789.jpg

    Une trentaine  de personnes se sont retrouvés autour de Bertrand DUCLOS, membre de l’institut chiffres et citoyenneté, pour un dîner débat sur le thème

    « Comment redynamiser l’activité citoyenne »
    Aujourd’hui, la démocratie représentative est remise en cause tant par les gouvernements autocratiques de nombreux pays étrangers qu’en France par l’abstention et des mouvements de contestation tels celui des gilets jaunes. L’institut « Chiffres et Citoyenneté » (C&C), fondé en 2015 par François Jeger et Olivier Peraldi, a ces derniers mois porté une réflexion sur les causes et les enjeux de la relation entre le citoyen et les décideurs politiques, appuyée sur des auditions d’élus, de représentants de la société civile et de citoyens.
    Alimenter une information destinée à encourager l’esprit citoyen
    L’institut Chiffres et Citoyenneté vise à renforcer la citoyenneté par des débats non partisans sur des sujets de société. Il rassemble des femmes et des hommes de tous horizons socio-professionnels et de sensibilités politiques variées. Leur volonté est d’alimenter une information destinée à encourager l’esprit citoyen.
    L’Institut Chiffres et Citoyenneté préconise notamment une sensibilisation, dès l’école primaire, aux modes de décision au sein d’un collectif. Il fait, en effet, le constat d’une déficience en connaissances socio-économiques pourtant indispensables pour participer au débat public.

    Un bon équilibre entre démocratie directe et démocratie représentative
    Trouver un bon équilibre entre démocratie directe et démocratie représentative est essentiel. La confiance dans cette dernière peut être renforcée par des réformes institutionnelles, la désynchronisation des élections présidentielles et législatives en est une : le mandat présidentiel devrait ainsi être de six ans. Rapprocher les législateurs des citoyens, en permettant un cumul des mandats de Maire et de député, en serait une autre… et pour que le CESE représente mieux l’ensemble de la population, l’institut propose proposent de tirer au sort dans la population un tiers de ses membres.
    Mieux équilibrer les accords entre les partenaires sociaux et l’Etat en matière de droit du travail, préciser tant les champs de compétence des collectivités locales que leur libre administration, figurent parmi les objectifs de l’institut chiffres et citoyenneté consultable sur le site :
    https://www.chiffres-citoyennete.fr/

    Retrouver les photos https://photos.google.com/share/AF1QipPQ889v5JjA4oSr9P2OBhc9_Pez9Qf0NYEaOIVbotLOqKyuLKtYCAbGuMd-eeePwQ?key=b2hpWGNxdTNpcXd5OVNkUm83QkFwT09POW9LSDln

     

     

  • Diner débat Juin 2022

    IMG_2400.jpg

    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Beñat EXPOSITO, agriculteur, pour un dîner débat sur le thème :
    « Quel avenir pour l’agriculture »
    Lorsqu’on aborde l’agriculture, son avenir, et donc notre alimentation, les enjeux sont complexes et les réactions souvent passionnées.
    Les controverses autour de l’agriculture actuelle et de l’alimentation dans le débat public sont le fait d’enjeux cruciaux et très larges, donc complexes. Ils sont sociétaux et environnementaux (effet de serre, eau, biodiversité), sociaux (revenus des agriculteurs, emploi, pouvoir d’achat), sanitaires (malnutrition et sur-nutrition, santé des consommateurs), enfin ce sont des enjeux économiques et politiques nationaux et internationaux (indépendance et sécurité alimentaire)
    L’objectif commun, est d’avoir en France une agriculture dynamique, durable, assurant la sécurité alimentaire du pays et retrouvant l’estime de la société civile.
    Cette agriculture, économiquement et écologiquement durable, devra savoir produire pour satisfaire en quantité et en qualité les besoins de la population, avec des prix conciliant rémunération du producteur et pouvoir d’achat du consommateur. Elle devra créer ou maintenir l’emploi agricole dans les différents territoires. Elle devra assurer la pérennité de notre indépendance alimentaire par le développement durable.

    Retrouvez les photos :

    https://photos.google.com/share/AF1QipMBqYfOKd4yhZ5oemIw-0W7HQY8lmZpo099v4Mq3zMIgfsyiVr_moPkh94j9P3V3w?key=dnFybjRFdzZVLWJCaEhXd2YxcE5ZSnRUUjlOOThR

  • Diner débat Mai 2022

    Patrick et Nicolas.JPG

     

    IMG_1914.jpg

     

    Avant de débuter la soirée, nous avons observé une minute de silence en mémoire de nos amis Patrick Devemy et Nicolas Martinez, disparus brutalement ces jours derniers
     
    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Marie de MERLIS, déléguée départementale au Pays Basque pour la fondation du patrimoine,
    « La fondation du patrimoine, sauvegarder des lieux de mémoire, les moyens d’action»
    La Fondation du patrimoine créée par la loi du 16 juillet 1996 et reconnue d'utilité publique par le décret du 18 avril 1997 est une personne morale de droit privé dont la mission est de promouvoir la connaissance, la conservation, l'identification, la préservation et la mise en valeur du patrimoine national et notamment du patrimoine non protégé au titre des monuments historiques.
    Les missions traditionnelles de la Fondation du patrimoine
    La Fondation du patrimoine apporte un soutien financier au patrimoine, protégé et non protégé au titre des monuments historiques, au travers de 5 types d'actions :
    • Les collectes de dons en faveur de la sauvegarde des biens patrimoniaux appartenant à des personnes publiques, associations ou personnes privées ;
    • Le mécénat d'entreprises grâce au soutien de grandes entreprises, ou de PME locales notamment au sein de clubs de mécènes ;
    • L'attribution d'aides sur les fonds propres de la Fondation ou grâce à des partenariats avec des collectivités publiques;
    • La délivrance d'un label, après avis de l'architecte des Bâtiments de France, permettant, sous certaines conditions, aux propriétaires privés de patrimoine non protégé au titre des monuments historiques de déduire de leur revenu global les dépenses d'entretien et de réparation de leurs immeubles patrimoniaux ;
    • La valorisation et la défense du patrimoine, notamment grâce au soutien des adhérents.
    Elle est administrée par un conseil d'administration composé de ses 12 membres fondateurs, de 2 représentants du Parlement, 3 représentants des collectivités territoriales, 2 personnalités qualifiées désignées par l’État et 3 représentants de ses adhérents. Le ministère de la Culture, le ministère de la Transition écologique et le ministère de l'Intérieur désignent chacun un commissaire du Gouvernement qui assiste au conseil d'administration de la fondation.
    La Fondation du patrimoine dispose de 22 délégations dans les anciennes régions métropolitaines et d’outre-mer (Antilles-Guyane et Océan Indien) et s’appuie sur 608 bénévoles et 74 salariés.
    Pour mener à bien ses missions, la Fondation dispose de ressources provenant de fonds privés et de fonds d’origine publique. Ces derniers sont constitués de subventions des régions, départements, établissements publics de coopération intercommunale et communes et de l’attribution par l’État d’une fraction du produit des successions vacantes. Si on tient compte du versement par l’État d’une fraction du prélèvement sur les sommes misées par les joueurs dans le cadre du « loto du patrimoine », commercialisé par La Française des Jeux dans le cadre de la « Mission patrimoine en péril », la part des financements publics dans le budget total de la Fondation s’élève à 52,7 %.
    Ces fonds sont utilisés principalement pour abonder le produit des souscriptions publiques et soutenir les propriétaires privés disposant de ressources modestes et ne pouvant pas bénéficier des déductions fiscales liées au label.
     
    Retrouvez les photos
     
     
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Diner débat Avril

    IMG_1397.jpg

    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Sophie Sophie Vidal, Présidente de l’association autisme pays basque, pour un dîner débat sur le thème :

    « 1/50 enfant nait autiste»

    Les parents sont souvent les premiers à repérer des écarts de développement ou des comportements inhabituels chez leur enfant. Leur inquiétude doit toujours être considérée comme valide et légitime, car elle constitue un signal. Il arrive pourtant qu’un trouble échappe au dépistage jusqu’à l’adolescence. C’est ce dont témoignent de nombreux parents en se rappelant rétrospectivement tous les petits signes qui auraient dû la mettre en alerte.
    Plus le diagnostic est précoce et plus il permet d’expliquer rapidement à l’enfant comment son cerveau fonctionne, comment cette différence affecte ses comportements, ses gestes ou son langage, et pourquoi il fait des confusions de sons… Celui-ci écoute, comprend un peu mieux sa différence que personne ne savait expliquer jusque-là.
    Le diagnostic précoce est important aussi pour les parents, car ils vont devenir les ambassadeurs de leur enfant auprès des enseignants, des institutions, des différents professionnels qui le prendront en charge. Dans un deuxième temps, expliquer que face à cette particularité qui affectera l’enfant toute sa vie, il disposera de certains outils. Et que tout cela n’empêchera pas certaines compétences de se renforcer en lui qui lui permettront de réussir et d’être heureux dans la vie

    Retrouvez les photos

    https://photos.google.com/share/AF1QipMl2Jp7htCqjyucY5BLFnMxO8jbretR8D79_W7NqdUGvGDE0d4BvN_zjUsv48cBPw?key=Zm96TzNBT2ZoYkJSV05KRWV6SS1yWkd2cjBfS1B3

  • Diner débat Mars

    IMG_0790.jpg

    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Michel BERGER, conseil en communication, pour un diner débat sur le thème :

     

    « Intelligence Artificielle : Présentation et intérêt »

     

    L’Intelligence Artificielle est le sujet du moment, un sujet incontournable et en prise directe avec la réalité, y compris dans la situation sanitaire actuelle. Il ne s’agit plus, aujourd’hui, de se demander s’il y a opportunité à introduire ces techniques dans le fonctionnement de sa vie. Il nous faut découvrir l’Intelligence Artificielle. Elle est là pour nous simplifier la vie et nous faire gagner du temps et de l’énergie.

    Si l’intelligence artificielle gagne du terrain chaque jour, le citoyen ne saisit pas forcément les tenants et les aboutissants de ce secteur. L’intelligence artificielle, il y a peu encore anecdotique dans la société, s’impose aujourd’hui comme un facteur incontournable. Elle frappe avec de plus en plus de véhémence à la porte de chaque individu, comme en témoigne la course à la voiture autonome qui bat son plein, les drones, le télépaiement, la reconnaissance faciale.

    L’I.A. est déjà là… Elle pose la question, sans doute pour la première fois en des termes forts, de la place de l’humain ? Donc choisir en conscience plutôt que subir… Nous devons nous préparer à un futur prévisible… à gérer l’inclusion numérique au Travail…

    Retrouvez les photos en cliquant sur le lien ci-dessous :

    https://photos.google.com/share/AF1QipNf8eG3iJR7PDhzAfAv59yvZG0Xdj0Ede97h91gejUHHK4EfMYVubeUPL2d-gpKxw?key=aXc4WmFsNzh5QklVeHpCSktHRkpGSTJOSnJuNERn