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Diners-débat - Page 10

  • diner débat du 30 octobre annulé

    Chères amies, Chers compagnons
    En raison du couvre feu, je suis obligé d'annuler notre prochain dîner débat qui devait se dérouler ‪le 30 Octobre‬ prochain.
    Bien évidemment nous retrouverons Maître Denis Mazella  dès que son agenda le permettra
    En attendant, j'ai décidé pour le mois de Novembre de transformer nos dîners débats en déjeuners débats
    Nous nous retrouverons donc ‪le Samedi 28 Novembre à 12 h 15‬ au restaurant Elissaldia à Bidart autour de
    Sofía Vdl
    , Présidente de l'association Autisme Pays Basque.
    Je considère que le gaullisme, c'est le mot par lequel nous désignons dans notre histoire la volonté humaine, lorsqu'elle est fermement opposée au renoncement.
    C'est le moment de le mettre en oeuvre et vous pouvez compter sur moi
    En attendant portez vous bien
    Amicalement

  • Diner débat Septembre 2020

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour d’Eric CHAPUIS, délégué territorial Pays Basque de la DDTM 64, pour un dîner débat sur le thème :
    « La DDTM, une expertise de proximité au service des territoires »
    Les Directions Départementales de l’Equipement (DDE) créées en 1967 à partir des services des Ponts-et-Chaussées, après avoir marqué durablement les territoires, par leur maillage fin et leurs interventions très larges, ont connu à partir des années 2000 plusieurs réformes successives : l’abandon progressif de l’ingénierie territoriale, le transfert des routes aux Départements et aux nouvelles DIR, en 2006, et enfin la fusion DDE / DDAF (Agriculture et Forêt), donnant naissance, au 1er janvier 2010, aux actuelles Directions Départementales des Territoires (et de la Mer), DDT(M).
    Les Directions Régionales de l'Équipement (DRE), quant à elles, disparaissent alors, et sont créées les Directions Régionales de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL). DDT(M) et DREAL sont des directions interministérielles.
    La DDTM des Pyrénées Atlantiques aujourd’hui
    Sous l’autorité du Préfet des Pyrénées-Atlantiques, la DDTM met en œuvre dans le département les politiques nationales des Ministères de l’Agriculture et de l’Alimentation, de la Transition Ecologique, et de la Cohésion des Territoires et des relations avec les Collectivités Territoriales.
    Avec quelque 250 agents, dont environ 70 à Bayonne, elle comprend, outre son secrétariat général, des « services métiers » spécialisés dans ses champs de compétences : Gestion et Police de l’Eau ; Environnement, Montagne, Transition Ecologique, Forêt ; Habitat, Construction, Villes accessibles ; Aménagement, Urbanisme, Risques ; Administration de la Mer et du Littoral ; Environnement et Activités Marines ; Capitainerie du port de Bayonne ; et Production et Economie Agricoles.
    Elle dispose également d’une « Mission d’Observation des Territoires », et de deux « postes avancés », les Délégations Territoriales, Béarn, et Pays Basque, chacune représentant localement la Direction, et portant, en mode intégrateur, l’ensemble des politiques publiques, dans une vision « supra-services métiers » : sorte de « HUB » au service des territoires.
    Sur l’ensemble de ses thématiques, la DDTM 64 exerce un rôle de conseil et d’expertise auprès des collectivités locales : elle accompagne, aussi en amont que nécessaire, l’analyse réglementaire des projets d’intérêt général, et peut, tout au long de la mise en œuvre de ces projets, continuer de conseiller la collectivité concernée.
    La DDTM exerce également des fonctions de contrôle de la mise en œuvre des lois et règlements applicables dans ses champs de compétences, de même que de délivrance de certaines autorisations préfectorales.
     
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  • Diner débat Aout 2020

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés au restaurant le txantxangorri à St-Jean-de-Luz autour du Père Étienne, aumônier militaire catholique de la garnison de Bayonne,
    pour un dîner débat sur le thème
    « Éclairage autour du rôle de l’aumônier militaire»
    Bien que l’image du prêtre soit presque systématiquement associée au curé de paroisse, il existe pourtant d’autres ministères non liés à une paroisse. Il en est ainsi, par exemple, de l’aumônier militaire, qui exerce son ministère sacerdotal non pas au profit d’un territoire défini mais d’une catégorie de personnes, à savoir les hommes et les femmes du ministère des armées. On retrouve donc sous l’uniforme un militaire particulier, non armé et non combattant : l’aumônier militaire, prêtre au service des militaires et des gendarmes.
    Prêtre en treillis, il accompagne au quotidien les soldats et leurs familles, aussi bien pour la célébration des sacrements habituels (messe, baptême, mariage, obsèques, confession) que pour un accompagnement humain, moral et spirituel autour des problématiques liées au métier des armes (longues absences du domicile, prise de risques, confrontation à la mort à donner ou à recevoir, usage de la force, etc...)
    Prêtre à part entière, l’aumônier n’en est pas moins un véritable camarade pour les militaires des unités qui lui sont confiées dont il partage, en restant à sa juste place d’homme de Dieu et de ministre du culte, les activités quotidiennes (sport, entraînement, cérémonies, manœuvres, missions intérieures, opérations extérieures, etc...).
    ‪Les aumôniers militaires ont un statut un peu particulier car ils sont à la fois prêtre et militaire.‬
    ‪Un ministère original à découvrir en dépassant les apparents paradoxes de la présence d’un prêtre au sein des forces armées
     
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  • Diner débat Juillet 2020

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés au restaurant du golf de Bassussarry autour de
    Nuria Codina-dupin
    présidente de l’association « vers la liberté » pour un dîner débat sur le thème
    « Violences conjugales : De l’amour à l’emprise psychologique »
    En 2019 150 femmes ont été tuées, par leur mari ou leur compagnon. Le féminicide est un crime de propriété.
    La violence conjugale se développe à travers des cycles dont l’intensité et la fréquence augmentent avec le temps :
    • 1 La tension
    • L’agresseur n’exprime pas directement la violence ( menaces, épisodes de colère qui augmentent progressivement
    • La victime est inquiète, elle essaie d’améliorer le climat 
    • 2 L’agression
    • L’agresseur laisse la violence exploser
    • La victime est triste et humiliée
    • 3 La justification
    • L’agresseur justifie son comportement et minimise les faits
    • La victime doute de ses propres perceptions et se sent coupable
    • 4 La Lune de Miel
    • L’agresseur demande pardon, parle de faire une Thérapie
    La victime constate les efforts. Un sentiment d’espoir renaît
                               L’EMPRISE
    *La séduction pour commencer
    La rencontre peut être vécue comme fusionnelle, avec un homme qui correspond exactement aux attentes de sa future compagne. Cet accrochage est parfois facilité par la complémentarité psychique de deux individus et des facteurs de vulnérabilité chez la femme, d’ordre sociale/ou psychologique. Cet amour idéal et idéalisé constitue la préparation psychologique à la soumission.
    *Puis viennent la manipulation, la domination et la violence :
    La manipulation amène la confusion, l’isolement, la culpabilisation. Elle repose sur différents moyens qui peuvent être comportementaux = surveiller l’autre, l’isoler (travail, famille, amis), créer une dépendance financière… émotionnelle = manipulations verbales et chantage, cognitive = contrôle du langage et de la communication en utilisant des messages contradictoires. Ce processus d’instrumentalisation engendre une modification de conscience : perte de confiance, déstabilisation, confusion, effondrement de la capacité critique, doute sur le propre ressenti, sentiment de vide. Épuisement psychique et physique.
    Durant toute la phase d’escalade des mécanismes d’adaptation se mettent en place chez la victime
    -La dissociation psychique se définit par une altération de l’identité de la mémoire, de la conscience et de la perception de l’environnement (en lien avec un vécu traumatique)
    - l’impuissance apprise est la diminution des capacités à trouver une solution. Elle fait disparaitre le désir de s’en sortir
    - l’augmentation du seuil de tolérance tend à la normalisation des violences
    - l’inversion de la culpabilité (au détriment de la victime)
    - la protection de son agresseur
    Mais pourquoi ces femmes ne partent pas ?
    Elles sont prises en étau entre le désir d’exister en tant que personne à part entière et/ou de protéger leur(s) enfant(s) :
    - le souhait de maintenir une cellule familiale et une relation affective
    - la peur des représailles
    - la perte d’autonomie, la perte de confiance et la peur de l’inconnu
    - la stigmatisation : la peur du jugement des autres
    - l’isolement social
    - la dépendance financière
    - l’espoir que la situation s’améliore.
    Ces obstacles expliquent leur difficulté à quitter le conjoint violent et à prendre des décisions pour changer leur situation
    A savoir : la séparation est une période à risque de passage à l’acte violent ou d’aggravation des violences.
    La rupture évolutive : de la séparation physique à la séparation psychique
    - Un départ définitif ? la victime va faire plusieurs allers et retours avant qu’un départ définitif intervienne. Un départ en urgence est rarement un départ définitif. Il faut garder en mémoire que le souhait de la victime est que les violences s’arrêtent, ce qui, pour elle, n’est pas forcement associé à l’idée de quitter définitivement son partenaire.
    - Des allers et retours au profit d’expériences constructives. La victime va faire plusieurs allers et retours avant qu’un départ définitif intervienne. Ces « faux départs » vont permettre à la victime d’expérimenter ses propres ressources (capacité à vivre seule), les possibilités d’hébergement, d’aide sociale et psychologique, sa sécurité, et la fiabilité des promesses faites à son conjoint lors de périodes de réconciliation. Une reprise progressive se met en place au fil des expériences.
    - Et après le départ ? Alors que la victime a définitivement quitté le partenaire violent, l’emprise est bien souvent encore présente.
    De nombreuses victimes présentent un état post traumatique.
    Souvent le souhait premier de la victime est que les violences s’arrêtent et pas nécessairement de quitter le conjoint violent.
    -                Association Vers la Liberté
    - Plateforme d’accueil et d’accompagnement aux victimes de violences (conjugales, verbales, harcèlement, homophobie…)
    - Permanences les 1er et 3éme vendredi du mois au CCAS du BOUCAU- 06-77-09-15-82
    - Notre association est composée de bénévoles (avocate, médecin, thérapeute, assistante sociale)
     
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  • Diner débat Février 2020

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés au restaurant Hiriartia à Ahetze autour de ‪Michel BERGER‬, conseil en communication, pour un diner-débat sur le thème :
    « Les futurs de l’homme et de l’entreprise : vers un nouvel âge de la société apporté par l’intelligence artificielle"
    Source de fantasmes il y a encore quelques années, l’intelligence artificielle a fini par rejoindre la réalité quotidienne et bousculer nos habitudes. Elle a non seulement donné la parole aux smartphones, mais contrôle désormais aussi certains équipements de la maison, et bat à plates coutures des champions d'échecs. Et demain ? Elle nous conduira peut-être au travail, qui sait ? C’est donc une véritable révolution qui se joue aujourd’hui. Et il était temps puisqu’elle se prépare depuis plus de 60 ans déjà.
    Si l’intelligence artificielle gagne du terrain chaque jour, les citoyens ne saisissent pas forcément les tenants et les aboutissants de ce secteur. Pourtant, il y a urgence. L’intelligence artificielle frappe avec de plus en plus de véhémence à la porte de chaque individu, comme en témoigne la course à la voiture autonome qui bat son plein.
    A terme, c’est le quotidien de chaque habitant de la planète qui sera bouleversé. Du travail aux loisirs, en passant par les tâches ménagères ou les transports, l’intelligence artificielle est en passe de changer nos vies. Pour le meilleur ?

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