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Diners-débat - Page 10

  • Diner du Nouvel An

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    Une cinquantaine de participants se sont retrouvés à la cidrerie du fronton à Arbonne à l’occasion du « dîner du nouvel an » ; notre première rencontre de l’année, toujours aussi chaleureuse.
    L’occasion de se souhaiter une bonne année 2022, qui sera une année riche en événements…et pas simplement à cause de la coupe du monde football 
     
    Retrouvez nos comptes rendus de l'année 2020 et 2021
     
     
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  • Petit déjeuner débat décembre 2021

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour du Général Bertrand Soubelet, Vice-Président d’Objectif France, pour un petit déjeuner débat sur le thème :
     
    « Insécurité : La France a-t-elle un cap ? »
     
    Dans une nation moderne, le premier devoir de l’Etat est d’assurer la sécurité de chaque citoyen. C’est le fondement du contrat social qui permet à chacun de s’épanouir et de vivre le plus harmonieusement possible. Or, en France en 2019, la sécurité des personnes et des biens est encore insuffisamment assurée. Le terrorisme menace et tue des innocents, la délinquance continue de peser sur la vie des Français, les voleurs, les casseurs, les fraudeurs, tous ceux qui défient les règles de la vie en collectivité ne sont pas sanctionnés efficacement.
    Dans ce contexte, la chaîne pénale est une réalité qui débute avec la constatation des infractions par les forces de sécurité et se termine par les mesures de suivi et de réinsertion de ceux qui ont fini leur peine. Cette vision globale nécessite l’intégration de toute la chaîne Sécurité-Justice, ce qui inclut naturellement les forces de sécurité civile, notamment les 250 000 sapeurs-pompiers qu’Objectif France reconnaît pleinement comme troisième force de sécurité au service de nos concitoyens.
    Les Français ont exprimé un besoin fort de sécurité à la suite des attentats qui ont frappé la France en 2015, 2016 et 2018 : c’est une priorité d’y répondre. Une remise en perspective de l’ensemble du dispositif, des moyens à la hauteur des besoins et des mesures de prévention totalement repensées, telles sont les clés du succès.
     
    Synthèse en 16 points clés :
     
    Un dispositif global rénové
     
    1 - Recentrer les missions régaliennes de l’Etat et donner une cohérence au dispositif partagé de sécurité, ce qui implique une loi-cadre répartissant clairement les compétences entre l’Etat, les polices municipales et les entreprises de sécurité privée.
    2 - Mieux répartir les forces de police et de gendarmerie sur le territoire. Pour permettre le renforcement en effectifs des zones urbanisées fortement touchées par la délinquance, la gendarmerie doit se réorganiser et prendre la responsabilité de départements entiers, ce qui permettra de redéployer 2 500 policiers dans les zones les plus sensibles.
    3 - Augmenter les effectifs de la police de 2 500, et ceux de la gendarmerie de 2 000 personnels supplémentaires.
    4 - Remettre les maires au centre de la sécurité au quotidien et de la tranquillité publique. Il est essentiel de donner des pouvoirs accrus aux maires en instaurant par la loi l’échange d’informations nominatives entre tous les acteurs de terrain (travailleurs sociaux, bailleurs sociaux, professionnels de la sécurité) et en renforçant les polices municipales (armement, moyens financier et juridiques pour procéder à des contrôles d’identité, de fichiers, dresser des procès-verbaux, prononcer des mesures administratives d’éloignement temporaire de la commune, encourager les initiatives communales d’exécution des peines de travaux d’intérêt général prononcées par la Justice, etc.).
    5 - Renforcer la coopération entre le milieu scolaire et les forces de sécurité à travers un renforcement des équipes mobiles de sécurité (EMS) et la création de groupes d’échanges d’information entre enseignants, EMS, forces de sécurité, magistrats, en y associant les parents concernés pour traiter les situations individuelles le plus précocement possible.
    6 - Remettre la lutte contre la fraude au centre de l’action de l’État. Les mesures comprennent notamment la création d’une agence nationale de lutte contre la fraude regroupant des enquêteurs de tous les ministères concernés, sous la tutelle du ministère de l’économie et des finances, et comprenant, au sein de son conseil d’administration, les corps de contrôles (Cour des comptes, Inspection générale des finances, Inspection générale des affaires sociales, Inspection générale de l’administration), le tout afin de définir une stratégie globale de lutte.
     
    Des moyens dimensionnés à la hauteur des besoins essentiels et des mesures adaptées à la situation
     
    7 - Planifier les moyens consacrés à la sécurité par une loi de programmation et de modernisation sanctuarisée qui définira les investissements, les effectifs et les équipements pour l’ensemble Sécurité-Justice.
    8 - Donner aux forces de sécurité les moyens juridiques de lutter contre la délinquance en instituant un régime juridique particulier « d’état de contrôle renforcé » pour permettre le traitement des quartiers en déshérence, en créant des « task forces » temporaires pour traiter les zones marquées par l’économie souterraine et dans lesquelles les lois de la République ne sont plus respectées, et en transformant les petits délits du quotidien en contraventions avec paiement immédiat, retenue sur salaire ou sur les prestations sociales.
    9 - Lancer un programme ambitieux de construction de locaux pénitentiaires différenciés allant de la prison classique au service militaire de probation en passant par la privation de liberté dans des structures plus légères.
    10 - Lutter de façon implacable contre le terrorisme islamique, ce qui implique, entre autres, de définir un traitement des fichés S au cas par cas, allant de la privation des avantages sociaux jusqu'à l'expulsion, et d’adapter le code pénal pour qu’on puisse condamner ces individus pour intelligence avec l’ennemi.
     
    Instaurer un dispositif de prévention ambitieux et développer la culture de la sécurité
     
    11 - Mettre en œuvre une politique cohérente par un ministère de la jeunesse redéfini regroupant tous les services éducatifs, la supervision des associations de jeunesse, des centres éducatifs renforcés et des centres éducatifs fermés, la protection de la jeunesse actuellement au ministère de la Justice, le pilotage de tous les établissements publics chargés de missions particulières (service civique, centres de l’Établissement pour l’insertion dans l’emploi (ex-EPIDe), service militaire adapté).
    12 - Responsabiliser les parents dans le cadre des dispositifs de réussite éducative et généraliser les conseils pour les droits et devoirs des familles, présidés par les maires en vue de faire strictement appliquer à leur encontre l’infraction pénale du « défaut d’éducation » et les mettre financièrement à contribution en transférant les prestations sociales vers les structures éducatives qui prennent en charge leurs enfants.
    13 - Développer les initiatives de participation citoyenne à la sécurité par le biais de dispositifs du type « voisins vigilants ».
    14 - Reconnaître à leur juste place les acteurs de la sécurité civile, à commencer par les sapeurs-pompiers.
    15 - Proposer un nouveau modèle en faveur du volontariat sapeur-pompier, basé sur des dispositifs incitatifs puissants, comparables à ceux proposés aux réservistes de la police et de la gendarmerie.
    16 - Diffuser massivement la culture du secourisme au sein de la population en s’appuyant notamment sur le réseau des bénévoles des associations agréées de sécurité civile, et en encourageant les modules correspondants en milieu scolaire, lors des journées défense et citoyenneté (JDC) comme dans les concours d’accès à la fonction publique.

    Retrouvez les photos sur le lien ci-dessous

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  • Diner débat Novembre

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Patxi Bergara, co fondateur d’I-ENER et d’Enargia, pour un dîner débat sur le thème :
    « La transition énergétique au Pays Basque »
    Le cap de Transition écologique et énergétique pour le Pays Basque s’articule autour de 5 orientations stratégiques :
    Être un territoire résilient qui veille à la santé de tous et au patrimoine naturel : préserver l’environnement et les ressources (air, eau, sols, forêts, biodiversité) face aux pressions anthropiques et climatiques ; prévenir de l’exposition aux aléas climatiques et penser l’adaptation autour des solutions fondées sur la nature
    Devenir un territoire à énergie positive à 2050 : diffuser une culture de la sobriété énergétique, accompagner les acteurs dans leurs projets de sobriété et d’efficacité énergétique, et de développement
    des énergies renouvelables en exploitant les potentiels du territoire, en consolidant les boucles énergétiques locales
    Rendre possible des modes de vie et des activités bas carbone pour tous : concevoir, construire/fabriquer et exploiter/consommer des bâtiments et produits à faible impact carbone ; structurer des offres de biens et services pour des comportements de consommation et de mobilité bas carbone
    Innover et changer de modèle économique : soutenir les filières et emplois verts ; intégrer les leviers de l’économie circulaire dans toutes les activités ; créer plus de liens entre les consommateurs et les producteurs du Pays Basque.
    Partager les connaissances et les expériences de transition pour agir ensemble : animer le débat « citoyen » autour des transitions, embarquer les acteurs dans les engagements partagés par le territoire, sensibiliser, informer, accompagner les initiatives diffusés.
    C’est avec beaucoup de plaisir que nous avons reçu la visite de Michèle Alliot-Marie et du Général Bertrand Soubelet venus porter leurs contributions a ce dîner-debat et saluer amicalement les participants.
     
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  • Diner débat Octobre

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour d’Alain de Flaujac, Délégué départemental pour les Pyrénées Atlantiques de l’ordre de malte, pour un dîner débat sur le thème :
    « Comment répondre à la grande précarité »
    En France, l’association est présente sur tout le territoire grâce à ses 111 délégations départementales et d’arrondissements (bureaux locaux). Au plan international, l’Ordre de Malte France développe ses activités de santé, de secours et de formations médicales pour permettre à tous d’accéder à des soins de qualité dans 26 pays.
    * 2 174 salariés
    * 10 500 bénévoles
    * 82 M€ de ressources en 2018 dont 15,8 M€ issus de la générosité du public
    * Une action présente dans 26 pays
    Les missions
    Leurs équipes salariées et bénévoles interviennent chaque jour dans :
    * La Lutte contre l’exclusion : accueil et accompagnement des personnes en situation de précarité
    * L’Aide aux migrants et aux réfugiés : accompagnement social et juridique des personnes déboutées de leur demande de droit d’asile et des personnes retenues dans des Centres de Rétention Administrative, soutien aux réfugiés
    * Le Secourisme : missions de service public, formation, prévention et missions d’urgence à l’international.
    * La Santé :- En France : établissements médico-sociaux et sanitaires dans les domaines de la dépendance, de l’autisme, du handicap et des soins aux enfants- A l’international : soins hospitaliers, protection de la mère et de l’enfant, malnutrition, grandes endémies
    * La Formation :En France : formations au secourisme et aux métiers du secteur sanitaire et médico-social .A l’international : formations au secourisme, au métier d’ambulancier et des personnels de santé.
    Les Valeurs
    L’Ordre de Malte France place la personne humaine au cœur de son action.�Il s’appuie sur des valeurs chrétiennes, de respect de l’autre, d’aide des plus démunis et des personnes fragilisées en vue d’un développement humain authentique. Le socle commun de valeurs, fondement de l’engagement des bénévoles et des salariés de l’Ordre de Malte France, repose sur :
    * la dignité imprescriptible de la personne humaine
    * la prise en compte de la dimension sociale et relationnelle de chacun
    * l’attention à la détresse d’autrui
    Afin de garder la confiance de tous, l’Ordre de Malte France conserve une neutralité qui lui permet d’agir selon les valeurs et les principes qui l’animent. Indépendant, l’Ordre de Malte France assure des missions de services publics dans le cadre et les limites de la loi.
    Leur Vision
    Faire plus mais surtout faire mieux ! Tel est leur défi et la vision partagée par l’ensemble des équipes, pour contribuer à humaniser la vie tout en assurant le développement de leurs activités et le déploiement de leur savoir-faire au service des plus fragiles.
    Grâce au soutien de leurs partenaires, bénévoles, salariés et de leurs donateurs, l’Ordre de Malte France est engagé dans une dynamique de progrès avec un souci permanent d’innovation et de recherche de qualité. Ils mettent tout en œuvre pour continuer à mériter la confiance des personnes qu’ils accompagnent mais aussi de tous ceux qui les soutiennent .
    DELEGATION DES PYRENEES ATLANTIQUES
    Secourisme :12 secouristes bénévoles diplômés
    Formation aux gestes qui sauvent et premiers secours avec délivrance du diplôme d'état PSC1
    Equipes de secouristes diplômés pour assurer des postes de secours
    Solidarités : 60 bénévoles
    - Maraudes 3 fois par semaine toute l'année sur Biarritz et Bidart.
    - Petit déjeuner , dimanche matin en hiver à Bayonne
    - Visites de personnes isolées.
    - Participation aux journées mondiales pour les lépreux.
    Sanitaires :
    - Création d'un dispensaire sociale et sanitaire à Bayonne. Ouverture prochaine en décembre2021 : Médecine générale et dentisterie.

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    https://photos.google.com/share/AF1QipMramSdmX0q3oOH2W2cGieKyrWmMZ735d2SxtPPL8PyNA0SvHi8_p400ApltsDAow?key=Z0RQSWpCeUZOUG9tNjgxZ3ZnQmJrLWo2SVhET2pR

  • Diner débat Septembre

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Maitre Julien ALLART, administrateur judiciaire, pour un dîner débat sur le thème :
    « Rôle et mission de l’administration judiciaire »
    L’administrateur judiciaire est un professionnel du droit disposant d’une formation en comptabilité et gestion financière. C’est un gestionnaire de crise qui assiste l’entreprise dans le cadre des procédures collectives que sont les sauvegardes et les redressements judiciaires, afin de lui permettre de trouver des solutions pour sauvegarder les emplois et assurer la pérennité de l’activité. L’administrateur judiciaire travaille aux côtés des dirigeants sur les restructurations à mettre en œuvre et mène les négociations avec les partenaires financiers ou les créanciers pour permettre le rebond de l’entreprise. Il s’inscrit dans une démarche technique mais demeure très sensible aux aspects humains, tant vis-à-vis des dirigeants que des salariés, qui sont très souvent en souffrance.
    A ne pas confondre avec le mandataire judiciaire qui intervient soit en tant que représentant des créanciers, soit en qualité de liquidateur judiciaire. Dans le premier cas, il aura pour mission de représenter et défendre les intérêts des créanciers dans le cadre d’une procédure de sauvegarde ou de redressement judiciaire. Dans le second cas, sa mission consistera à réaliser des actifs pour permettre le paiement des créanciers, mais également à accompagner les salariés dans le cadre de la rupture de leur contrat de travail.
    Il s’agit donc de deux fonctions différentes, même si ces deux professions ont pour dénominateur commun l’exercice d’un mandat de justice.
    Les administrateurs judiciaires bénéficient d’un statut unique. Ce sont les seuls professionnels du droit qui ne sont pas dotés de clientèle. Cette absence de clientèle est le garant de leur indépendance. Ils interviennent dans le cadre d’un mandat de justice qui leur est confié par un tribunal, nécessitant une impartialité et une indépendance totale.
    Leurs fonctions les conduisent à proposer au tribunal, qui décidera, des solutions dans l’intérêt social de l’entreprise et non dans l’intérêt privé d’actionnaires, de dirigeants ou de repreneurs.
    Ils exercent une mission de service public tout en ayant un statut de professionnels libéraux avec les impératifs économiques que cela engendre. Il est à noter que c’est la profession réglementée la plus contrôlée et la plus normée, car les administrateurs judiciaires sont les seuls professionnels du droit à endosser la responsabilité de gérer une entreprise ou les biens d’autrui. Ce statut, façonné au fil du temps, nous est envié par nos voisins européens.
     
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