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Diners-débat - Page 5

  • diner du nouvel an

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    Quel bonheur de vous avoir retrouvé si nombreux ce soir à la Cidrerie du Fronton à Arbonne pour notre première rencontre de l’année.
    L’occasion d’échanger les vœux, de revenir sur l’année 2023 et d’aborder 2024 avec ambition pour nos dîners-débats.
    Ils seront plus que jamais les rendez-vous de l’amitié et de la fidélité à nos valeurs.
    Maider Arosteguy retenue aux vœux du personnel de la Mairie de Biarritz , c’est Eric Quatrevieux et Didier Barberteguy élus de la Ville de Biarritz, qui nous ont transmis ses vœux chaleureux et amicaux.

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  • Petit déjeuner débat décembre

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Peio ETXELEKU, chef d’entreprise, pour un petit déjeuner débat sur le thème :

    « L’économie de marché est-elle compatible avec l’écologie »

     

    L'engagement des entreprises en faveur du développement durable peut se traduire, au quotidien, par plusieurs types d'initiatives :

    ·         mise en œuvre d'une politique de réduction des émissions polluantes, et notamment des gaz à effet de serre ;

    ·         Intégration des considérations environnementales dans le processus de prise de décision à tous les niveaux de direction, ce qui implique, notamment, une formation adaptée du personnel ;

    ·         Adhésion à des codes de conduite volontaire en matière d'investissement et de production

    ·         Intensification de la recherche sur les techniques de production plus sobres et moins polluantes.

    Ces éléments ne sont que des exemples de la forme que peut prendre le respect du développement durable dans une entreprise.

     

    Les obstacles à la mise en œuvre d'une démarche de développement durable dans une entreprise peuvent être totalement indépendants de la volonté propre de ses dirigeants. Ils peuvent ainsi apparaître sous la forme de lacunes en matière d'information, ou encore d'une indisponibilité des capacités scientifiques, technologiques, professionnelles ou institutionnelles requises pour appuyer le processus. En outre la mise en œuvre des démarches de développement durable se heurte souvent à des conflits résultant du différentiel entre le coût financier à court terme de la protection de l'environnement ou du relèvement des standards sociaux et ses avantages économiques à long terme. Les petites et moyennes entreprises (PME) sont les plus démunies face à ce problème en raison d'une difficulté d'accès aux informations adéquates et d'un manque de capitaux nécessaires à l'utilisation de procédés de fabrication moins polluants. Or les dirigeants des petites et moyennes entreprises jouent un rôle très important dans le développement économique et social d'un pays.

     

    Le développement durable est un mode de développement qui concerne tous les acteurs économiques et sociaux présents sur la scène internationale. Parmi tous ces acteurs, les entreprises occupent une place prépondérante, car la dégradation de l'écosystème est pour une large part imputable à des modes de production trop polluants. La sauvegarde des ressources de la planète pour les générations futures, objectif principal du développement durable, doit donc passer par un changement des techniques de production et des modes de management au sein de l'entreprise, aiguillonnée par les autres parties prenantes (actionnaires, investisseurs et société civile). Si le sujet est devenu omniprésent dans le débat public, son application concrète n'en est qu'à ses débuts et de nombreux efforts sont encore à fournir, de la part des entreprises comme des consommateurs. Beaucoup d'observateurs regrettent l'effet de mode médiatique et marketing dont profite le développement durable, qui est devenu un argument de vente pour certaines entreprises. Toutefois, une fois cet engouement passé, il est probable que les principaux enjeux sous-jacents à ces débats, et qui sont ceux de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises, conserveront encore longtemps leur pertinence

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  • Diner débat Novembre 2023

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    Une soixantaine de personnes se sont retrouvés autour de Frédéric MINGAM, ingénieur réseaux, pour un diner débat sur le thème :

    « Défis et Enjeux de la cybersécurité »

     

    La cybersécurité est un enjeu critique pour les entreprises, les gouvernements et les particuliers à travers le monde, et les experts du domaine prédisent que les défis en matière de sécurité numérique continueront de croître dans les années à venir.

    Si les technologies progressent, il en va de même pour les compétences des cyberpirates qui cherchent constamment à exploiter les vulnérabilités des systèmes. Pour les organisations, garder une longueur d’avance en matière de cybersécurité, est un défi de tous les jours.

    Les spécialistes ont identifié sept tendances à surveiller d’ici 2030.

    1.  Des progrès, mais pas partout

    Malgré les investissements publics et privés dans les technologies de sécurité et la lutte contre la cybercriminalité qui sont en cours dans de nombreux pays, les progrès en la matière seront probablement inégalement répartis entre les communautés et les zones géographiques.

    Pour dépasser le seuil de « pauvreté cybernétique », les experts suggèrent d’enseigner la cybersécurité dès l’école primaire et de réglementer plus efficacement les cryptomonnaies. Ils prédisent également que les mots de passe pourraient devenir obsolètes d’ici 2030 (enfin !). Plutôt que d’essayer de défendre des forteresses, il faudra renforcer sa résilience et sa capacité de récupération des données.

    2.  Une crise de confiance qui s’accentue

    L’érosion de la confiance en ligne est sur le point de s’aggraver et de continuer à saper les relations et les institutions hors ligne. Les progrès de l’intelligence artificielle (IA) et de l’apprentissage automatique rendent difficile la distinction entre les humains et les machines en ligne, ce qui pourrait inciter de nombreuses personnes à reporter leurs activités hors ligne voire à revenir à l’utilisation d’appareils analogiques.

    La cybersécurité consistera moins à assurer la confidentialité, qu’à protéger l’intégrité et la provenance des informations.

    Alors que les sociétés ont besoin de s’unir pour faire face à des enjeux planétaires comme les changements climatiques, la méfiance qui s’installe pourrait entraîner un recul de la coopération nationale et internationale.

    3.  Un mélange d’optimisme et d’inquiétude

    Il y a à la fois de l’optimisme et de l’inquiétude quant au rythme rapide des progrès scientifiques et de l’adoption commerciale des technologies d’IA et de l’apprentissage automatique. L’IA est source d’innovation dans de nombreux domaines, notamment la médecine et les transports, mais elle facilite aussi les cybercrimes. Quant aux modèles d’apprentissage automatique, ils pourraient être utilisés pour des objectifs illicites ou sournois.

    Les gouvernements et les organisations manquent encore de connaissances spécialisées pour mettre en place des systèmes de surveillance et de contrôles adéquats.

    4.  Les dangers de la souveraineté numérique

    La tendance à la fragmentation de l’internet, qui veut que chaque pays développe son propre réseau, devrait se poursuivre, selon les experts. La « souveraineté numérique » a toutefois des avantages (limités) et des inconvénients majeurs. Si elle peut permettre aux communautés locales de mieux définir leur sécurité numérique, elle peut également provoquer un Far West de désinformation, de surveillance et de cyberattaques plus puissantes émanant d’États voyous qui seraient isolés de l’internet mondial.

    5.  L’efficacité de la réglementation n’est pas encore prouvée

    La réglementation en matière de protection de la vie privée, telle que le Règlement général sur la protection des données (RGPD) adopté par le Parlement européen, pourrait atteindre ses objectifs politiques d’ici 2030.

    Cependant, l’efficacité des méthodes de gestion des données personnelles reste incertaine. Selon les experts, nous pourrions vivre dans un monde où les notions contemporaines de protection de la vie privée auront été abandonnées.

    6.  Incertitude du métavers

    Les avis sont partagés quant à savoir si le métavers sera pleinement réalisé d’ici 2030. Certains estiment que les nouveaux problèmes de protection de la vie privée et de sécurité que poseraient un métavers nécessitent une accélération de l’innovation politique. D’autres prévoient un futur dystopique où les gens fuiraient le monde réel pour un monde virtuel, devenant des consommateurs passifs. L’éducation à la pensée critique est considérée comme essentielle pour éviter cette dystopie.

    7.  Souveraineté et évolution de la dynamique du pouvoir

    Les frontières entre les gouvernements et les entreprises privées risquent de s’effacer davantage, ce qui pourrait permettre aux grandes entreprises technologiques de prendre une place plus importante dans les décisions politiques, y compris au Conseil de sécurité des Nations unies. Une crainte exprimée par des participants à des ateliers organisés par les chercheurs.

    Aux États-Unis, la tendance à la souveraineté numérique, les divergences réglementaires internationales et l’absence d’un cadre pratique pour déterminer les compromis à faire en matière de conformité sont des sources de préoccupation. Le secteur public est considéré comme un acheteur et un investisseur clé dans la mise en place de garde-fous pour la cybersécurité.

    Ces tendances soulignent la nécessité pour les décideurs de rester vigilants et de s’adapter constamment aux évolutions du paysage numérique. Les progrès technologiques et les vulnérabilités de la sécurité numérique sont en constante évolution, et il est crucial de prendre les mesures nécessaires pour renforcer la résilience et la capacité de récupération face aux cybermenaces.

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  • Diner débat OCTOBRE 2023

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    Soixante dix personnes se sont retrouvés autour de Hugues PERNET, ancien ambassadeur de France à Kiev, pour un diner débat sur le thème :

    « Aux origines de la guerre en Ukraine »

    Depuis l’indépendance de l’Ukraine, proclamée en août 1991, la Russie a toujours laissé une épée de Damoclès suspendue au-dessus de son voisin.

    Elle ne s’est jamais satisfaite de voir la Crimée, le Donbass, la ville de Kharkov et des millions de « Russes » – en tout cas des russophones – dépendre d’une autre souveraineté que la sienne.

    L’invasion déclenchée par Vladimir Poutine le 24 février 2022 n’était certes pas écrite d’avance, mais elle s’inscrit dans le contexte de ce divorce qui a traumatisé Moscou, il y a plus de trente ans. Ce constat ressort clairement des propos d’Hugues Pernet, un des rares observateurs occidentaux qui a assisté à la métamorphose de l’Ukraine lors de la chute de l’URSS.

    Son propos montre comment les dirigeants du Parti communiste ukrainien, hostiles aux réformes menées à la tête de l’Union soviétique par Mikhaïl Gorbatchev, se sont alliés aux nationalistes locaux pour affirmer la souveraineté de la République. Quelques mois plus tard, dans cette folle année de fin de règne à Moscou, ils sont allés jusqu’à la proclamation de l’indépendance, cette fois pour ne pas dépendre de l’emprise du nouveau président russe, Boris Eltsine.

    Dans le même temps, ils ont torpillé le projet de nouvelle fédération, envisagé par Gorbatchev, puis celui de confédération, poussé par Eltsine.

    Soutenus par les États-Unis, qui voyaient là l’occasion inespérée de se débarrasser de la superpuissance rivale, les Ukrainiens ont alors fait plus que prendre leur destinée en main. Ils ont aussi fracassé l’histoire impériale et le récit national russes. Moscou a vécu leur départ comme une sécession. Les répliques de ce traumatisme les ébranlent aujourd’hui.

    Retrouvez les photos en cliquant ci-dessous :

    https://photos.google.com/share/AF1QipPfdhpT5pnM7l3TeGMHAsN1MBoRnhixw8X944CsmRD3_v8O7WAwx5_EJZF3kKRLmQ?key=d3FUeDN6dVYxdGhiMk14LXBHVFZqOEFZdXZnbEl3

  • Diner débat Septembre 2023

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    Serge LARZABAL et l’ensemble des vice-présidents des Comités Nationaux des Pêches, sont partis rejoindre leur Président National au Congrès des Régions de France à St Malo.
    Dans le bras de fer qui les oppose au gouvernement suite à l’annonce de mettre un terme aux aides gazole, la filière Pêche souhaite obtenir le soutien des régions qui possèdent une façade maritime.


    C’est pour cette raison que David MILLY, directeur de l’OP pêcheurs d’Aquitaine a remplacé au pied levé Serge LARZABAL et nous l’en remercions

    L’Organisation de Producteurs (OP) Pêcheurs d’Aquitaine organise l’activité sur le plan économique en conformité avec l’Organisation Commune des Marchés (OCM) et à la Politique Commune des Pêches (PCP).

    Elle a principalement deux grands types de missions :
    * La gestion de droits de pêche,
    * L’organisation du marché.


    Une cinquantaine  de personnes se sont retrouvés autour de David MILLY directeur de l’OP pêcheurs d’Aquitaine, chargé de mission du CIDPEM 6440, pour un diner débat sur le thème :
    « L’état des lieux de la filière pêche locale »
    Le premier levier d’une filière digne de ce nom est la gestion de la ressource.
    Elle se concrétise par :

    ·         L’application des réglementations internationales, européennes et nationales : TAC et quotas, Autorisations Européennes et Nationales de Pêche, Licences, périodes autorisées de pêche, arrêts biologiques, mesures techniques des engins, tailles minimales de commercialisation,

    ·         La mise en oeuvre de mesures locales plus restrictives à l’initiative des professionnels : contingentement de licences, cantonnement de pêche (filet calé dans le Gouf de Capbreton, commune de Guéthary), interdiction de la pratique du chalut au sud du Gouf de Capbreton (de fond dans la bande des 6-12 milles ; pélagique dans la bande des 12 milles), mesure de gestion visant à réduire les captures accidentelles de saumon en zone côtière depuis 2016,

    ·         Le suivi de la ressource et partenariats scientifiques pêcheurs : obligations de déclaration de capture, de pesée des produits de la mer et de marquage des captures (Thon rouge, salmonidés), suivis halieutiques (navires de moins de 10 m, système d’information halieutique d’IFREMER, algues rouges), suivi des débarquements en criée de Saint Jean de Luz-Ciboure, échantillonnages des captures (migrateurs sur l’Adour, espèces sous quota en criée), estimation de stock (oursins), programmes de marquages d’individus (Programme BARGIP et Langouste reconquête), études environnementales (Liga sur la côte basque),

    ·         La diversification d’activités et de revenus : pescatourisme, ramassage des algues rouges dérivantes, ramassage des déchets flottants, valorisation des co-produits de la pêche.

    Une filière de qualité passe par la valorisation et la promotion des produits de la pêche locale.
    Pour cela, le CIDPMEM 64-40 incite ses adhérents à privilégier la qualité à la quantité. Cela se traduit par la mise en place de démarches qualité comme :

    ·         Edition et diffusion de guides de bonnes pratiques,
    ·         Optimisation des processus qualité en criée de Saint Jean de luz-Ciboure,
    ·         Labellisation des produits de la pêche à la ligne,
    ·         Développement des circuits courts de commercialisation,
    ·         Promotion des produits locaux dans des revues gastronomiques, des salons et des foires,
    ·         Promotion des produits locaux par l’édition de supports de communication,
    ·         Partenariat avec l’Ecole Hôtelière de Biarritz pour l’expérimentation de la transformation de produits de la pêche locale peu connus du grand public.

    Une filière responsable repose sur des écosystèmes côtiers et des ressources marines en bonne santé. Par leur présence quotidienne sur l’eau, les marins pêcheurs sont de véritables sentinelles de la mer et mènent des actions qui visent à :

    ·         Assurer une veille écologique : alerte sur les dysfonctionnements des écosystèmes, amélioration des connaissances sur les espèces marines,
    ·         Lutter contre les macro-déchets : retour des déchets de bord et remontés des fonds marins à terre, ramassage des déchets flottants,
    ·         Piloter et animer des programmes visant à conforter une pêche durable : pilotage du programme de Développement Local mené par les Acteurs Locaux (DLAL) du Fonds Européen pour les Affaires Maritimes et la Pêche (FEAMP), animation de la partie marine marine de la zone Natura « Mer et Littoral » de la côte basque,
    ·         Réduire leur consommation énergétique : expérimentation de biocarburants, optimisation des moteurs thermiques par l’hydrogène,
    ·         Innover et réduire leur impact environnemental : expérimentation de valorisation des nappes de filets usagés, expérimentation de valorisation des co-produits de la pêche, création d’engins de pêche connectés, expérimentation de valorisation des viscères de poisson en compost pour l’agriculture biologique


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