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Diners-débat - Page 5

  • diner débat septembre 22

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés à la table des docks autour de Franck Cascino, Président de l’association Agir sécurité routière, pour un dîner débat sur le thème :
    « La sécurité routière : Pourquoi ? »
    Même si des progrès importants ont été faits ces dernières décennies en Europe, près de 38 000 personnes perdent encore la vie sur ses routes chaque année, dont près de 4 000 en France. Il reste là aussi beaucoup à faire pour réduire les risques de décès et traumatismes sur les routes. Outre le poids émotionnel et financier élevé pour les familles touchées, les accidents de la route ont un coût économique et social global, correspondant dans la plupart des pays, à l’équivalent de 1 à 3 % du PIB. En France, leur coût annuel dépasse les 25 milliards d’euros.
    L’amélioration de la sécurité routière est l’une des plus grandes priorités de Franck Cascino, Président de l’association Agir Sécurité Routière. L’association met l’accent sur les conducteurs novices, qui constituent un groupe exposé à des risques élevés. Les pouvoirs publics devraient se fonder sur l’exemple des pays européens qui mettent déjà en œuvre des formations post-permis permettant d’améliorer la perception de la circulation par les conducteurs novices, leur autoévaluation, leurs aptitudes.
    Côté véhicule , D’ici 2025, la quasi-totalité des véhicules neufs vendus dans le monde seront équipés d’un système de connexion permettant le développement de services de réservation, de localisation et l’accès à des applications concernant par exemple l’entretien du véhicule, qui réduiront le nombre de pannes intempestives. Le déploiement de l’E Call pourrait contribuer à sauver jusqu’à 4 000 vies par an en Europe.
    L’automatisation progressive des véhicules jouera un rôle clé dans l’amélioration de la sécurité routière. Les grands acteurs de l’industrie automobile prévoient la mise en circulation de voitures sans conducteurs en 2025. Une révolution qui supposera de nouveaux cadres juridiques appropriés.
    Côté infrastructure, le programme EuroRAP, permet, grâce à un système de notations des routes européennes de sensibiliser le public et de fournir aux gestionnaires des routes des informations de référence sur leurs résultats en termes de sécurité.
    Un audit des infrastructures routières permettrait de supprimer et de protéger les obstacles latéraux et de mettre en place partout des limitations de vitesse cohérentes.
    Je tiens à souligner que c’est avec beaucoup de plaisir que nous avons reçu Maider Arosteguy, Maire de Biarritz, venue en amie participer à notre dîner-débats
     
    Retrouvez les photos :
  • Diner débat Aout

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Jean Marc ABBADIE, DRH du groupe EPTA France, pour un dîner débat sur le thème :

    « La qualité de vie au travail »

    Epta France est l’un des cinq lauréats de la 13ème édition des Trophées Mieux Vivre en Entreprise grâce à son projet d’installation des casiers réfrigérés #EPTABricks sur le site d’Hendaye. Ces Trophées ont été créés en 2009 à l’initiative du Club IMVE et organisés en collaboration avec le GROUPE RH&M. Ils ont pour vocation de récompenser des entreprises et des équipes ayant mis en place des initiatives innovantes, exemplaires et créatrices de bien-être durable dans l’entreprise.

    Jean-Marc ABBADIE (Directeur des Ressources Humaines Epta France) déclare “Depuis longtemps, Epta France mène une politique active de Qualité de Vie au Travail et ambitionne de devenir une référence dans les entreprises de la région pour cette démarche. De nombreuses actions sont mises en place chaque année pour améliorer les conditions de travail pour les 550 femmes et hommes au sein du site d’Hendaye. Le tout dernier projet permet de faire ses courses sur son lieu de travail grâce à nos casiers réfrigérés #EPTABricks. Cette initiative de responsabilité sociétale de l’entreprise est née de la volonté d’associer l’amélioration du bien être de nos salariés à la réduction des émissions de CO2 et de la consommation électrique. Ce projet a été cofinancé par la Région Nouvelle Aquitaine”

    En détail, les casiers réfrigérés #EPTABricks sont installés à la sortie du site d’Hendaye et sont à la disposition non seulement de tous les #EptaPeople, mais aussi de l’ensemble des personnes vivant à proximité, qui peuvent également en profiter. Ce nouveau service, qui consiste en la possibilité de récupérer 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24 les achats en ligne alimentaires et non alimentaires frais et surgelés et non réfrigérés . Il est opérationnel depuis septembre 2021, est a été présenté aux salariés avec une campagne de communication dédiée (courriers, affichage, mailing).

    Cette initiative est un pas de plus vers la Qualité de Vie au Travail grâce aussi à son faible impact environnemental. En effet, les #EPTABricks réduisent à 0 les émissions de CO2 pour faire ses courses, réalisées sur le lieu de travail sans nécessité d’autres déplacements en voiture. En outre, grâce à ses panneaux solaires, l’installation est autonome en énergie. L’objectif est de promouvoir un nouveau modèle de développement pour les projets de production d’électricité d’origine renouvelables connectés au réseau et basés essentiellement sur l'autoconsommation, la numérisation des flux et le stockage d’énergie.

    Retrouvez les photos :

    https://photos.google.com/share/AF1QipOgW5NGWybq6xnKUJG_PVj8bXjNaTP13geiZ3gmUCZ0S05HvYm4Y-qUN5TBg9jNcQ?key=UEs1VVpSSi01N0hoUHpCMFV2cXFjTU5GN3paZnpn

  • Diner débat Juillet 2022

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    Une trentaine  de personnes se sont retrouvés autour de Bertrand DUCLOS, membre de l’institut chiffres et citoyenneté, pour un dîner débat sur le thème

    « Comment redynamiser l’activité citoyenne »
    Aujourd’hui, la démocratie représentative est remise en cause tant par les gouvernements autocratiques de nombreux pays étrangers qu’en France par l’abstention et des mouvements de contestation tels celui des gilets jaunes. L’institut « Chiffres et Citoyenneté » (C&C), fondé en 2015 par François Jeger et Olivier Peraldi, a ces derniers mois porté une réflexion sur les causes et les enjeux de la relation entre le citoyen et les décideurs politiques, appuyée sur des auditions d’élus, de représentants de la société civile et de citoyens.
    Alimenter une information destinée à encourager l’esprit citoyen
    L’institut Chiffres et Citoyenneté vise à renforcer la citoyenneté par des débats non partisans sur des sujets de société. Il rassemble des femmes et des hommes de tous horizons socio-professionnels et de sensibilités politiques variées. Leur volonté est d’alimenter une information destinée à encourager l’esprit citoyen.
    L’Institut Chiffres et Citoyenneté préconise notamment une sensibilisation, dès l’école primaire, aux modes de décision au sein d’un collectif. Il fait, en effet, le constat d’une déficience en connaissances socio-économiques pourtant indispensables pour participer au débat public.

    Un bon équilibre entre démocratie directe et démocratie représentative
    Trouver un bon équilibre entre démocratie directe et démocratie représentative est essentiel. La confiance dans cette dernière peut être renforcée par des réformes institutionnelles, la désynchronisation des élections présidentielles et législatives en est une : le mandat présidentiel devrait ainsi être de six ans. Rapprocher les législateurs des citoyens, en permettant un cumul des mandats de Maire et de député, en serait une autre… et pour que le CESE représente mieux l’ensemble de la population, l’institut propose proposent de tirer au sort dans la population un tiers de ses membres.
    Mieux équilibrer les accords entre les partenaires sociaux et l’Etat en matière de droit du travail, préciser tant les champs de compétence des collectivités locales que leur libre administration, figurent parmi les objectifs de l’institut chiffres et citoyenneté consultable sur le site :
    https://www.chiffres-citoyennete.fr/

    Retrouver les photos https://photos.google.com/share/AF1QipPQ889v5JjA4oSr9P2OBhc9_Pez9Qf0NYEaOIVbotLOqKyuLKtYCAbGuMd-eeePwQ?key=b2hpWGNxdTNpcXd5OVNkUm83QkFwT09POW9LSDln

     

     

  • Diner débat Juin 2022

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Beñat EXPOSITO, agriculteur, pour un dîner débat sur le thème :
    « Quel avenir pour l’agriculture »
    Lorsqu’on aborde l’agriculture, son avenir, et donc notre alimentation, les enjeux sont complexes et les réactions souvent passionnées.
    Les controverses autour de l’agriculture actuelle et de l’alimentation dans le débat public sont le fait d’enjeux cruciaux et très larges, donc complexes. Ils sont sociétaux et environnementaux (effet de serre, eau, biodiversité), sociaux (revenus des agriculteurs, emploi, pouvoir d’achat), sanitaires (malnutrition et sur-nutrition, santé des consommateurs), enfin ce sont des enjeux économiques et politiques nationaux et internationaux (indépendance et sécurité alimentaire)
    L’objectif commun, est d’avoir en France une agriculture dynamique, durable, assurant la sécurité alimentaire du pays et retrouvant l’estime de la société civile.
    Cette agriculture, économiquement et écologiquement durable, devra savoir produire pour satisfaire en quantité et en qualité les besoins de la population, avec des prix conciliant rémunération du producteur et pouvoir d’achat du consommateur. Elle devra créer ou maintenir l’emploi agricole dans les différents territoires. Elle devra assurer la pérennité de notre indépendance alimentaire par le développement durable.

    Retrouvez les photos :

    https://photos.google.com/share/AF1QipMBqYfOKd4yhZ5oemIw-0W7HQY8lmZpo099v4Mq3zMIgfsyiVr_moPkh94j9P3V3w?key=dnFybjRFdzZVLWJCaEhXd2YxcE5ZSnRUUjlOOThR

  • Diner débat Mai 2022

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    Avant de débuter la soirée, nous avons observé une minute de silence en mémoire de nos amis Patrick Devemy et Nicolas Martinez, disparus brutalement ces jours derniers
     
    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés autour de Marie de MERLIS, déléguée départementale au Pays Basque pour la fondation du patrimoine,
    « La fondation du patrimoine, sauvegarder des lieux de mémoire, les moyens d’action»
    La Fondation du patrimoine créée par la loi du 16 juillet 1996 et reconnue d'utilité publique par le décret du 18 avril 1997 est une personne morale de droit privé dont la mission est de promouvoir la connaissance, la conservation, l'identification, la préservation et la mise en valeur du patrimoine national et notamment du patrimoine non protégé au titre des monuments historiques.
    Les missions traditionnelles de la Fondation du patrimoine
    La Fondation du patrimoine apporte un soutien financier au patrimoine, protégé et non protégé au titre des monuments historiques, au travers de 5 types d'actions :
    • Les collectes de dons en faveur de la sauvegarde des biens patrimoniaux appartenant à des personnes publiques, associations ou personnes privées ;
    • Le mécénat d'entreprises grâce au soutien de grandes entreprises, ou de PME locales notamment au sein de clubs de mécènes ;
    • L'attribution d'aides sur les fonds propres de la Fondation ou grâce à des partenariats avec des collectivités publiques;
    • La délivrance d'un label, après avis de l'architecte des Bâtiments de France, permettant, sous certaines conditions, aux propriétaires privés de patrimoine non protégé au titre des monuments historiques de déduire de leur revenu global les dépenses d'entretien et de réparation de leurs immeubles patrimoniaux ;
    • La valorisation et la défense du patrimoine, notamment grâce au soutien des adhérents.
    Elle est administrée par un conseil d'administration composé de ses 12 membres fondateurs, de 2 représentants du Parlement, 3 représentants des collectivités territoriales, 2 personnalités qualifiées désignées par l’État et 3 représentants de ses adhérents. Le ministère de la Culture, le ministère de la Transition écologique et le ministère de l'Intérieur désignent chacun un commissaire du Gouvernement qui assiste au conseil d'administration de la fondation.
    La Fondation du patrimoine dispose de 22 délégations dans les anciennes régions métropolitaines et d’outre-mer (Antilles-Guyane et Océan Indien) et s’appuie sur 608 bénévoles et 74 salariés.
    Pour mener à bien ses missions, la Fondation dispose de ressources provenant de fonds privés et de fonds d’origine publique. Ces derniers sont constitués de subventions des régions, départements, établissements publics de coopération intercommunale et communes et de l’attribution par l’État d’une fraction du produit des successions vacantes. Si on tient compte du versement par l’État d’une fraction du prélèvement sur les sommes misées par les joueurs dans le cadre du « loto du patrimoine », commercialisé par La Française des Jeux dans le cadre de la « Mission patrimoine en péril », la part des financements publics dans le budget total de la Fondation s’élève à 52,7 %.
    Ces fonds sont utilisés principalement pour abonder le produit des souscriptions publiques et soutenir les propriétaires privés disposant de ressources modestes et ne pouvant pas bénéficier des déductions fiscales liées au label.
     
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