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Diners-débat - Page 15

  • Diner débat Février 2019

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    Une cinquantaine de participants ont assistés ce soir à Ascain au dîner débat animé par Claire LACAVE et Patxi BERGARA respectivement co-fondatrice et Président co-fondateur du fonds de dotation GEROA Fundazioa
    La philanthropie au cœur de l’ADN de GEROA !
    « Nous avons créé un outil de générosité pour donner vie aux initiatives portées par les habitants du Pays basque, pour notre territoire, dans des domaines variés » déclare pour débuter le débat Claire LACAVE, co-fondatrice du fonds de dotation GEROA. C’est effectivement une approche originale s’appuyant sur le mécénat des entreprises et la générosité des particuliers pour soutenir l’emploi, l’agriculture, la transition écologique, la culture et la langue basque et enfin la recherche et l’éducation. « Il fallait répondre aux enjeux d’aujourd’hui et de demain sur un territoire qui est historiquement un terreau à initiatives mais qui trouve ses limites dans ses sources de financement » poursuit Claire LACAVE.
    Cette année, GEROA mobilisera toutes les énergies et les générosités pour accompagner la compagnie de danse BILAKA vers la professionnalisation, pour soutenir un projet de recherche sur les troubles du langage en langue basque et pour aider les jeunes en situation de fragilité financière dans leur cursus d’études supérieures. GEROA est membre fondateur de la SCIC ENARGIA, fournisseurs d’électricité 100% issue d’énergie renouvelable et partenaire de Du Pays Basque aux Grandes Ecoles pour l’attribution de bourses aux élèves méritants.
    « D’autres projets se présentent dores et déjà à nous et nous avons besoin du soutien de toutes et de tous pour leur donner vie » a conclue Patxi BERGARA

    Retrouvez les photos

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  • Diner Galette des Rois

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    Au moment où certains découvrent l’existence du label « société civile », tous les mois, depuis 2007, j’ai le plaisir d’organiser un dîner-débat, avec des intervenants issus de la société civile, du monde économique et social ou associatif.

    Ces rendez-vous sont ancrés depuis 12 ans dans le paysage politique de la côte basque. Les participants ont plaisir à se retrouver pour échanger, débattre, partager un moment de convivialité avec un acteur du territoire.

    En ce début d’année nous nous retrouverons avec la plupart des intervenants de l’année passée pour échanger les voeux et partager la traditionnelle galette des rois à la cidrerie du fronton à ARBONNE.

    L’occasion de revenir sur les diners débats de 2018.

     

    téléchargez les comptes rendus 2019.docx

     

    Retrouvez les photos :

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  • Petit Déjeuner Débat Décembre

     

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés au Trinquet DONGAITZ à Urrugne autour d’Éric SORRONDEGUI, Directeur d’agence chez Fiducial Expertise pour un petit déjeuner débat sur le thème :

    « Impôts sur le revenu et prélèvement à la source : les enjeux de la réforme »

     

    On a beaucoup dit que le prélèvement à la source était une première en France. C'est oublier un peu vite qu'entre le 1er janvier 1940 et le 1er janvier 1949, le prélèvement à la source a été une réalité en France. Cela s'appelait le "stoppage à la source", il avait été mis en en novembre 1939.

    "Le stoppage à la source" avait été institué parce qu'il fallait financer l''effort de guerre. Et puis l’impôt était récent – il datait de 1914 – et l’administration fiscale n’était pas très efficace. Il permettait aussi de généraliser un impôt payé par seulement 15% des foyers fiscaux avant sa mise en place. Il fallait donc trouver une solution d'urgence, dans un contexte de besoin lié à la guerre.

    En 1948, on a mis un terme au stoppage à la source pour plusieurs raisons. D'abord, parce qu'il s'agissait d'une mesure qui était liée au régime de Vichy, même si votée quelques mois avant . Ensuite, parce qu’à l’époque, l’État se consolidait, il était omniprésent dans l’économie, et il pensait être en mesure de prélever l’impôt. Et puis la déclaration d'impôt relevait à l'époque d'une dimension presque philosophique, elle était quasiment perçue comme une déclaration d'amour à la patrie. C'est un geste symbolique fort. Enfin, puisque deux tiers des actifs étaient salariés au début des années 1950, l'impôt sur le revenu permettait de prélever l'impôt de tous les Français de la même manière.

    Près de 20 ans plus tard, Michel Debré avait lancé une initiative en faveur de sa réintroduction en 1966. Elle a été abandonnée suite à l’hostilité des organisations syndicales à l’égard de cette mesure qui aurait réduit les salaires nets. Valery Giscard d’Estaing a été tenté lui aussi par la démarche, en 1973.

     

    A nouveau, le gouvernement recula de peur que le prélèvement à la source n’entraîne des revendications généralisées de la part de salariés qui auraient pu considérer, à la lecture de leur feuille de paie, que leur pouvoir d’achat était amputé. Plus proche de nous, Thierry Breton avait travaillé sur la question en 2007, tout comme Jean-Marc Ayrault en 2013, avant que Manuel Valls remette le sujet en selle en 2015.

    Retardé d’un an, le prélèvement à la source entrera en vigueur en Janvier 2019 avec son lot d’interrogations.

    Eric SORRONDEGUI Précise : « Ce prélèvement se situe tant dans le domaine de l’accompagnement du dirigeant d’entreprise que dans le volet social puisqu’impliquant les fiches de paye des salariés avec un risque majeur pour ces derniers, l’application du bon taux de prélèvement normalement communiqué par l’administration fiscale ».

    La responsabilité de l’entrepreneur est plus importante. D’abord appliquer le bon barème de retenue, modifier le logiciel de traitement des fiches de paye et endosser une nouvelle casquette, celle d’agent collecteur pour le compte de l’état avec obligation de régler ces cotisations en temps et en heure.

    « De plus le chef d’entreprise pourrait être pénalisé s’il commet une erreur dans la ponction fiscale, si cela relève de sa responsabilité » conclue Eric Sorrondegui.

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  • DINER DÉBAT NOVEMBRE 18

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    Une cinquantaine de personnes se sont retrouvés au restaurant du café du théatre à Bayonne autour de Patrick de CASANOVE, Président du CERCLE FREDERIC BASTIAT pour un diner débat sur le thème :
    « SORTIR DE L’ÉTATISME POUR SORTIR DE L’IMPASSE : LA SOLUTION LIBÉRALE »
    Après avoir remercié Jean René ETCHEGARAY, Maire de Bayonne et Président de la CAPAB, d’être venu assister à ce diner débat, Patrick de CASANAVOVE a posé le constat suivant :
    « la situation du pays est mauvaise. La dette publique officielle de la France dépasse les 2300 milliards d'euros, aucun budget n'a été équilibré depuis 1974. La pénurie existe partout : pénurie de travail, plus de 6 millions de chômeurs toutes catégories confondues, pénurie de logements, pénurie de soins médicaux, (déserts médicaux, files et délais d'attente), insécurité grandissante etc... La France est épuisée par une « crise » qui n'en finit pas, désespérée par l'incurie des politiciens en charge du pays depuis des dizaines d'années. Aujourd'hui le gouvernement pédale dans la semoule au point de vouloir des taxes et contributions pour aider les gens à payer d'autres taxes ! À force d'en souffrir, beaucoup de Français réalisent enfin que le système n'est pas le modèle que les hommes de l’État leur vendent.
    Les gouvernements successifs ont toujours menti en affirmant qu'il n'y avait pas de solution autre que l’étatisme pour protéger les Français et« en même temps » les conduire à la prospérité »
    Mais selon Patrick DE CASANOVE qui promeut la philosophie libérale :
    « Pour qu'il y ait prospérité il faut sortir de l'étatisme et respecter les droits naturels individuels : Liberté, Propriété, Personnalité. Cela s'appelle la liberté économique qui va bien au-delà de l'économie. ».
    Et de conclure par une citation de Frédéric BASTIAT extrait de son livre, La Loi (paru en 1850)
    « Il faut le dire: il y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle. »

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