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Diners-débat - Page 19

  • DINER DÉBAT NOVEMBRE

     

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvées vendredi soir à Urrugne pour échanger sur la création de la flat tax et ses conséquences fiscales sur l’assurance-vie. Ce débat était animée par Véronique BASSI-MOUNET, Diplômée Notaire, conseiller en gestion de Patrimoine

     « La volonté d’appliquer la flat tax de 30% à l’assurance-vie va déboucher sur un mécanisme complexe, c’est-à-dire à plusieurs vitesses » entame Véronique BASSI-MOUNET,

    Jusqu’à 150.000 euros détenus, les choses resteront encore assez simples. Les revenus produits par le contrat ne seront pas soumis à la flat tax de 30%. Autrement dit, le cadre fiscal restera le même qu’auparavant.

    Ainsi, les épargnants auront le choix d’être imposés au barème ou à un taux forfaitaire en fonction de l’âge de leur contrat : 35% avant 4 ans, 15% de 4 à 8 ans et 7,5% après 8 ans.

    Seul changement à noter, « les prélèvements sociaux passeront ici aussi à 17,2% à compter de 2018. » signale Véronique BASSI-MOUNET

    Au-delà de 150.000 euros, la fiscalité sera en revanche susceptible d’évoluer. « Il faudra alors regarder ici la date des versements. » prévient Véronique BASSI-MOUNET

    Tous les revenus générés par des versements antérieurs au 27 septembre 2017 resteront en dehors de la flat tax et seront soumis au cadre évoqué ci-dessus. Pour les rachats effectués après 8 ans, c’est donc le taux de 7,5% qui s’appliquera.

    Les gains obtenus sur des versements opérés à compter du 27 septembre 2017 entreront en revanche dans le nouveau cadre (uniquement si le montant des contrats dépasse 150.000 euros). Les calculs seront d’autant plus complexes « qu’il faudra alors faire un prorata car seuls les gains générés par l’encours dépassant le seuil de 150.000 euros seront soumis a la nouvelle taxation. » alerte Valérie BASSI-MOUNET

    A noter que  « pour les rachats effectués après 8 ans, les gains continueront à bénéficier d’un abattement annuel de 4.600 euros pour une personne seule ou de 9.200 euros pour un couple. » conclue Véronique BASSI-MOUNET

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  • Diner débat Octobre

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    une cinquantaine de personnes ont répondu présents pour échanger sur : « comment faire les bons choix pour améliorer ensemble la politique de santé publique de nos territoires ». Ce débat était animé par Thierry MORVAN, anesthésiste réanimateur, consultant OMEDIT, expert numérique en santé ANAP.

     Pourquoi depuis quelques années le mot de territoire est-il partout dans le domaine de la santé ?

    -         Parce que la décentralisation a progressé en France et que le domaine sanitaire est également concerné

    -         Parce que le contexte économique a renforcé l’exigence de la bonne gestion des deniers publics et qu’une observation plus fine permet de mieux répartir les ressources et d’éviter les gaspillages.

    Pour mettre en œuvre de manière opérationnelle le territoire, il est nécessaire, d’affirmer l’objectif supérieur du système de santé comme source de bien être individuel et collectif, d’aborder la santé dans les territoires comme un investissement d’avenir.

     « Les prérequis minimum de la communication entre les systèmes d'informations santé qui existent déjà,
    mériteraient une mise en œuvre réglementaire au bénéfice de la santé publique et des économies en santé, sans aucun impact sur les deniers publiques. » a conclu Thierry Morvan

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  • Diner débat Septembre

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    Une cinquantaine de personnes ont répondu présents pour échanger sur l'entrepreneuriat des femmes : où comment agir pour une véritable égalité professionnelle. Ce débat était animé par Patricia VIALLE-MARTIN, Présidente de la délégation des Pyrénées Atlantiques de l’association des Femmes Chefs d’Entreprises de France.

     L'association FCE France est née au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Et, selon Patricia VIALLE-MARTIN, « 72 ans après, il y a encore beaucoup de travail à effectuer pour faire bouger les lignes ». Représentant 45% de la population active, les femmes ne sont en effet que 30 % à créer leur entreprise et 26 % à diriger une TPE-PME, pourcentage quasiment inchangé depuis 30 ans, d'où l'intérêt d'un réseau comme FCE, dont la devise résume bien la philosophie : « Seules nous sommes invisibles, ensemble nous sommes invincibles ! ».

    Alors que la crise frappe de plein fouet notre économie, il existe un potentiel de développement pour notre pays au travers de la création et de la reprise d’entreprise par les femmes, qui ne représentent hélas que 30 % des créateurs et repreneurs. Par ailleurs, Patricia VIALLE-MARTIN estime que nous pouvons améliorer ce taux, en travaillant sur les obstacles dus aux stéréotypes sexués des métiers. De nombreuses entreprises sont à reprendre dans des secteurs d’activités traditionnellement masculins et souvent à forte valeur ajoutée.

    Il est donc important de sensibiliser encore davantage les femmes aux formations techniques et scientifiques mais également d’améliorer leur accès aux services de soutien et aux financements pour leur permettre aussi d’accéder à des entreprises de plus grande envergure.

    Pour conclure, il s’agit finalement aussi de faire reconnaitre le rôle positif des femmes dans la croissance économique de notre Pays.

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  • Diner débat Aout 2017

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvées vendredi soir à Anglet pour échanger sur l'égalité des chances des lycéens au Pays Basque. Ce débat était animé par Bixente Etcheçaharreta, Président de l'association "du Pays Basque aux Grandes Écoles".
     
    Bixente Etcheçaharreta à présenté son association, crée en 2013, avec 4 anciens du lycée de Navarre de Saint-Jean-pied-de-port. Ils sont partis d'un double constat : trop peu de jeunes basques accèdent à l'enseignement supérieur et le peu qui ont la chance d'y parvenir, ne reviennent pas s'installer sur le territoire.
     
    Pour Bixente Etcheçaharreta : "Il n'y a pas de fatalité à voir notre territoire décrocher dans l'enseignement supérieur. Depuis maintenant 4 ans, en étroite collaboration avec 9 lycées conventionnés, les étudiants de l'association interviennent dans des classes pour encourager les lycéens dans des choix d'orientation plus ambitieux et faire vivre l'égalité des chances au Pays Basque."
     
    Au bout de 3 années d'actions sur le terrain, en 2016, l'association a été auditionnée par le Conseil économique, social et environnemental. Aujourd'hui l'association rassemble 150 étudiants et lancera, pour l'année 2017, un système de bourse à l'échelle du Pays Basque.
     
    "Du Pays Basque aux Grandes Écoles", une initiative de jeunes étudiants qui incite les jeunes à poursuivre des études supérieures et qui rapproche diplômés et entreprises locales et au delà qui contribue au rayonnement de notre territoire.
     
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  • Dîner débat Juillet

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    Pas de trêve estivale pour les dîners-débats, une quarantaine de personnes ont répondu présents pour échanger sur la création monétaire, qui crée l'argent ? Ce débat était animé par Pierre Aury et Maurice Barragué.

    Si le mot souveraineté doit avoir un sens, il est important de connaître ses fondements principaux qui sont : assurer la sécurité intérieure et extérieure, définir le droit et rendre justice, et battre monnaie.

    La monnaie est représentée aujourd'hui par 5 % en numéraire et 95 % en scripturale. L'argent ne devient réel que quand il circule. En Europe les banques doivent avoir 1 % de réserve à la banque centrale du montant qu'elle prête et 10 % aux Etats Unis. L'argent est détruit au fur et à mesure qu'un emprunt à la banque est remboursé. La création de la monnaie se fait par la dette.

    L'histoire nous montre, que le vrai souverain est toujours en dernière instance, celui qui a le pouvoir de création monétaire. Car comme le disait Napoléon Bonaparte "Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit."

    Si le sujet de la création monétaire est si peu connu, ce n'est certainement pas un hasard.Comprendre qui crée l'argent et qu'est -ce que l'argent, est fondamental pour sortir de l'ignorance et de la servitude dans laquelle nous sommes volontairement enfermés.

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