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Diners-débat - Page 16

  • Diner débat Juin

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    Une cinquante de personnes se sont retrouvés à Saint Jean de Luz autour de Jacques Manic, Medecin de sport, pour un diner débat sur le thème : COMBATTRE LE DOPAGE PAR LA NUTRITION SPORTIVE

    Jacques Manic a expliqué que :

    Depuis 1960, Prés de 8 000 sportifs ont été contrôlés positifs, à l’échelle planétaire. En France, L’AFLD (agence française de lutte contre le dopage) effectue prés de 10 000 contrôles par an. 85% concernent des sportifs de haut niveau. Le nombre d’infractions constatées s’élève à 2,3%. Depuis 1990, le dopage a pris une autre dimension, par la majoration de la pression économique, la médiatisation grandissante du sport et les progrès de la pharmacologie.

    Le sportif se dope pour 2 raisons principales : la recherche de la performance et l’augmentation des charges d’entrainement. Les techniques de dopage sont nombreuses : EPO, cannabis, cocaïne, corticoïdes…etc. Les risques médicaux sont majeurs. Les sanctions sont immédiates et lourdes.

    La lutte contre le dopage a pour but de préserver l’éthique et les valeurs sociales, culturelles et économiques du sport, de combattre les trafics de produits interdits, de protéger l’image du sport et des sportifs, et surtout de protéger la santé du sportif. La sante du sportif et l’amélioration des performances, reposent sur 3 facteurs principaux : l’entrainement, la récupération et la nutrition. L’alimentation saine et équilibrée, associée à une complémentation adaptée, permet de mieux supporter les charges des entrainements, d’éviter les risques de blessures, de mieux récupérer après les séances d’entrainement et les compétitions, et de mieux stabiliser le poids. C’est la seule issue à la lutte contre le dopage.

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  • Diner débat MAI

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    Une quarantaine de personnes se sont retrouvés autour de Michel Berger, consultant en communication, pour un dîner débat sur le thème « le nouveau monde ... avec Google »

    Le développement du numérique qui a vu le jour ces dernières années a entrainé des conséquences sur le fonctionnement de notre société.

    C’est une nouvelle façon de vivre avec les effets du numérique, de l’intelligence artificielle, des plateformes regroupant des offres par filières.

    Internet a bouleversé le fonctionnement des familles et des entreprises, qui petit à petit ont dû s'adapter à ce nouveau monde, à cette dématérialisation des échanges.

    Le nouveau monde de Google et de l’Internet font penser à Christophe Colomb.

    Christophe Colomb fut celui qui, en cherchant une nouvelle route vers les Indes orientales inaugura une longue période d’exploration des Européens vers le continent américain.

    Alors Google est-il le Christophe Colomb des temps modernes ?

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  • Diner débat AVRIL

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    Une quarantaine de participants se sont retrouvés à ascain autour de Philippe BERTRAND président de l’antenne Régionale Nouvelle Aquitaine de l’association 60000 rebonds.
    Il été accompagné de Pierre CROCI et de Jean philippe FLAGELLO, œuvrant au sein de l’association en tant que coach et parrain de chefs d’entreprise en cessation d’activité.

    En France, 60 000 chefs d’entreprise sont confrontés, chaque année, à une cessation de l’activité de leur entreprise et se retrouvent dé...munis, un goût amer dans la bouche et avec, souvent, un sentiment de honte de ne pas avoir réussi. Très vite, ces entrepreneurs recherchent une activité professionnelle afin de retrouver une rémunération. Une quête difficile remplie d’embûches psychologiques et situationnelles et un fort sentiment de solitude.

    L’association nationale loi 1901, 60 000 rebonds, reconnue d’intérêt général à caractère social, épaule ces dirigeants qui ont subi bien souvent un traumatisme à la fois financier, professionnel et personnel. Une équipe de bénévoles les aide à sortir de l’isolement, pour mieux rebondir vers un nouveau projet professionnel.
    L’idée de 60000 rebonds, c’est que tout entrepreneur a le droit d’essayer plus d’une fois, et que la société n’a pas le droit de les inciter à y renoncer.

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  • Diner débat MARS

    trotignon.jpgUne cinquantaine de participants ont assisté au restaurant du Golf du phare à Biarritz à notre diner débat animé par Patrick TROTIGNON, consultant sportif, sur le thème : « La nouvelle équation du foot business»
    L'argent a toujours fait partie du football professionnel. Seul les montants et les motivations ont changé.
    Lorsque Peugeot investit dans le FC Sochaux, au début du siècle dernier, c’est pour acheter une certaine paix sociale: les ouvriers travaillent mieux le lundi ...lorsque l’équipe première a remporté son match la veille.
    Si le foot a toujours été lié au business, il faut bien reconnaître que l’arrêt Bosman, qui supprime la limitation du nombre de joueurs étrangers dans une équipe, est un vrai tournant. Cette avalanche d’argent a entraîné les dérives en tout genre et des footballeurs mercenaires davantage habités par l’appât du gain que par la quête du succès. D’autant plus que quinze ans auparavant, l’économie du football avait déjà connu un autre virage: la principale des sources de revenus des clubs n’était plus les recettes de billetterie, mais les droits de retransmission télévisuelle, qui vont souder une nouvelle interdépendance entre chaîne télé et football.
    A la fin des années 1990, la libéralisation est donc totale. Les clubs les plus riches, branchés sur la manne de la télévision, font exploser leur masse salariale. Du «foot business» à la papa, où des entreprises privées alimentent, de façon paternaliste, les symboles de leur ville, on passe à un football globalisé, au-delà de tout pays et de tout contrôle. Terminé, disent les sceptiques, l’identification à un maillot, un territoire, une nation. Terminée également l’incertitude liée aux résultats. C’est oublier bien vite que lorsqu’un supporter entre dans un stade, il ne pense pas à la somme gagnée par les joueurs pour taper dans le ballon, mais plutôt au moment où ceux-ci vont marquer un but.

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  • Diner débat Février

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     Une quarantaine de participants ce soir à notre diner débat animé par Sébastien Bonduelle

    « Un Fab Lab, contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication en français », est un laboratoire de fabrication associatif, qui permet de partager de façon collective des connaissances et des compétences en vue de créer des projets. C’est par ces propos que, Sébastien Bonduelle, Président de l’association la Fab’Brique à Salies de Béarn, a entamé la réunion.
    Sébastien Bonduelle, décrit le concept : « La Fab’Brique est un espace unique et convivial, de création et d’innovation, dédié à la rencontre d’individus, qu’ils soient particuliers, étudiants, entreprises ou porteurs de projets afin de partager des idées et des compétences en vue de concevoir des projets. »
    En pratique, si un porteur de projet ou une entreprise veut tester son projet, il peut en collaboration avec les adhérents savoir si celui-ci est viable, utiliser les moyens mis à disposition et avec l’aide du collectif concevoir le prototype.
    Créer une dynamique collective réunie sur un même lieu pour élaborer toutes sortes de projets innovants est l’objectif  des « Fab Lab » que met en œuvre à Salies de Bearn Sébastien Bonduelle avec son association la Fab’Brique.

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