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Diners-débat - Page 18

  • Diner débat AVRIL

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    Une quarantaine de participants se sont retrouvés à ascain autour de Philippe BERTRAND président de l’antenne Régionale Nouvelle Aquitaine de l’association 60000 rebonds.
    Il été accompagné de Pierre CROCI et de Jean philippe FLAGELLO, œuvrant au sein de l’association en tant que coach et parrain de chefs d’entreprise en cessation d’activité.

    En France, 60 000 chefs d’entreprise sont confrontés, chaque année, à une cessation de l’activité de leur entreprise et se retrouvent dé...munis, un goût amer dans la bouche et avec, souvent, un sentiment de honte de ne pas avoir réussi. Très vite, ces entrepreneurs recherchent une activité professionnelle afin de retrouver une rémunération. Une quête difficile remplie d’embûches psychologiques et situationnelles et un fort sentiment de solitude.

    L’association nationale loi 1901, 60 000 rebonds, reconnue d’intérêt général à caractère social, épaule ces dirigeants qui ont subi bien souvent un traumatisme à la fois financier, professionnel et personnel. Une équipe de bénévoles les aide à sortir de l’isolement, pour mieux rebondir vers un nouveau projet professionnel.
    L’idée de 60000 rebonds, c’est que tout entrepreneur a le droit d’essayer plus d’une fois, et que la société n’a pas le droit de les inciter à y renoncer.

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  • Diner débat MARS

    trotignon.jpgUne cinquantaine de participants ont assisté au restaurant du Golf du phare à Biarritz à notre diner débat animé par Patrick TROTIGNON, consultant sportif, sur le thème : « La nouvelle équation du foot business»
    L'argent a toujours fait partie du football professionnel. Seul les montants et les motivations ont changé.
    Lorsque Peugeot investit dans le FC Sochaux, au début du siècle dernier, c’est pour acheter une certaine paix sociale: les ouvriers travaillent mieux le lundi ...lorsque l’équipe première a remporté son match la veille.
    Si le foot a toujours été lié au business, il faut bien reconnaître que l’arrêt Bosman, qui supprime la limitation du nombre de joueurs étrangers dans une équipe, est un vrai tournant. Cette avalanche d’argent a entraîné les dérives en tout genre et des footballeurs mercenaires davantage habités par l’appât du gain que par la quête du succès. D’autant plus que quinze ans auparavant, l’économie du football avait déjà connu un autre virage: la principale des sources de revenus des clubs n’était plus les recettes de billetterie, mais les droits de retransmission télévisuelle, qui vont souder une nouvelle interdépendance entre chaîne télé et football.
    A la fin des années 1990, la libéralisation est donc totale. Les clubs les plus riches, branchés sur la manne de la télévision, font exploser leur masse salariale. Du «foot business» à la papa, où des entreprises privées alimentent, de façon paternaliste, les symboles de leur ville, on passe à un football globalisé, au-delà de tout pays et de tout contrôle. Terminé, disent les sceptiques, l’identification à un maillot, un territoire, une nation. Terminée également l’incertitude liée aux résultats. C’est oublier bien vite que lorsqu’un supporter entre dans un stade, il ne pense pas à la somme gagnée par les joueurs pour taper dans le ballon, mais plutôt au moment où ceux-ci vont marquer un but.

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  • Diner débat Février

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     Une quarantaine de participants ce soir à notre diner débat animé par Sébastien Bonduelle

    « Un Fab Lab, contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication en français », est un laboratoire de fabrication associatif, qui permet de partager de façon collective des connaissances et des compétences en vue de créer des projets. C’est par ces propos que, Sébastien Bonduelle, Président de l’association la Fab’Brique à Salies de Béarn, a entamé la réunion.
    Sébastien Bonduelle, décrit le concept : « La Fab’Brique est un espace unique et convivial, de création et d’innovation, dédié à la rencontre d’individus, qu’ils soient particuliers, étudiants, entreprises ou porteurs de projets afin de partager des idées et des compétences en vue de concevoir des projets. »
    En pratique, si un porteur de projet ou une entreprise veut tester son projet, il peut en collaboration avec les adhérents savoir si celui-ci est viable, utiliser les moyens mis à disposition et avec l’aide du collectif concevoir le prototype.
    Créer une dynamique collective réunie sur un même lieu pour élaborer toutes sortes de projets innovants est l’objectif  des « Fab Lab » que met en œuvre à Salies de Bearn Sébastien Bonduelle avec son association la Fab’Brique.

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  • DINER GALETTE DES ROIS

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    Une soixantaine de participants se sont retrouvés à Arbonne pour échanger les voeux en ce début d'année et partager la traditionnelle galette des rois.

    L’occasion de revenir sur les diners débats de l’année passée.

    Février

    Alexandre Lambert, professionnel dans l'immobilier à Biarritz,

    "acheter, vendre, financer autrement dans l'immobilier, pour améliorer la politique de logement"

    Mars

    Pas de diner débat en raison de la venue de Mr FILLON

    Avril

    Maria Luz Zugarramurdi, présidente Côte basque de l'association familiale catholique et Pierre Bouchet, Le Président départemental

     "est-il possible d'agir sur les politiques publiques nationales de la famille ?".

    Mai

    Romain Saint Jean, ostéopathe a Ustaritz

    « ostéopathie préventive, enjeu économique pour le régime général, authentique avancée sur l’économie sociétale »

    Juin

    Jessica HENRIC, avocat au barreau de Bayonne

    « Protection des données personnelles : un renforcement des obligations des entreprises »

    Romain Saint Jean, ostéopathie a Ustaritz

    Juillet

    Pierre Aury et Maurice Barragué , citoyens engagés

    « la création monétaire, qui crée l'argent ? »

    Aout

    Bixente Etcheçaharreta, Président de l'association "du Pays Basque aux Grandes Écoles

    « Assurer un meilleur développement du Pays Basque en favorisant l’égalité des chances pour les lycéens »

    Septembre

    Patricia VIALLE-MARTIN Présidente de la délégation des Pyrénées Atlantiques de l’association des femmes chefs d’entreprises de France

    « Entrepreneuriat des femmes, comment agir pour une véritable égalité professionnelles »

    Octobre

    Thierry MORVAN, anesthésiste réanimateur, consultant OMEDIT, expert en santé ANAP

    «  comment faire les bon choix pour améliorer ensemble la politique de santé publique de nos territoires  »

    Novembre

    Véronique BASSI-MOUNET, Diplômée Notaire, 

    " Création de la flat tax pour l'assurance vie ça change quoi ? Quelle logique économique ?"

     

    Décembre

    Jacques ARTOLA, Administrateur de l'association St Vincent d'Urrugne, 

    " Quele avenir pour les Chrétiens d'Orient ?"

     

    Nous avons rendu hommage à Michel FÉLIX et à Martxial MALVY, deux de nos amis fidèles disparus trot tôt et avant de passer aux agapes, salué la présence de Maider Arosteguy avec qui nous avons effectué une belle campagne des législatives dans un contexte compliqué.

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  • Petit déjeuner débat Décembre

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    Une soixantaine de participants ont assisté ce matin au trinquet Dongaitz à Urrugne à notre petit déjeuner débat animé par Jacques Artola sur le thème : « Quel avenir pour les chrétiens d’orient »

     

    Jacques ARTOLA administrateur de l’association Saint Vincent plante le décor :

    « Ces dernières années, nous avons vu avec effroi le désastre de la guerre menée par des fanatiques, nous rappelant les heures funestes vécues par les juifs sous le règne nazi. Oui, la volonté d’éradiquer les chrétiens est réelle. Et c’est ce qui s’est passé notamment en Irak, en Syrie, ces deux pays en proie à la guerre effrénée menée par des djihadistes…qui ont réussi à faire fuir de chez eux les chrétiens, notamment dans la plaine de Ninive, à Mossoul, à Karakoch  et de partout en général dans ces deux pays.

     

    Alors que fallait-il faire ? Rester les bras croisés ? Se lamenter devant le journal télévisé ?  C’est ce que nous avons fait trop longtemps hélas… tellement ça nous semblait loin, ou totalement inaccessible… que faire ? »

     

    Fort de nos convictions, nous avons fait le choix d’accueillir une famille Chrétienne, et de proposer de relever ce pari aux membres de notre relais paroissial, et au-delà. Alors comment tout cela a débuté ? »

     

     

    C’est au cours du mois de Novembre 2015, que Jacques ARTOLA est allé rencontrer L’Abbé Peyo Noblia, curé d’Urrugne. 

     

    Fort de son soutien moral, et appui sans équivoque, rejoint quelques jours après, par notre ami Didier Picot,  ils se sont attelés à la tâche. Devant le choix de plusieurs associations paroissiales pouvant servir de support juridique, ils ont choisi, sur préconisation de Peyo Noblia, l’association St Vincent d’Urrugne, que Jacques Artola préside déjà par ailleurs.

     

    • Jacques Artola a demandé l’autorisation au CA de l’association St Vincent d’Urrugne de mener l’opération d’accueil sous son égide. Etant entendu qu’il s’agirait d’une commission ouverte avec des membres extérieurs à l’association  devant animer l’opération, ce comité de pilotage comprendra obligatoirement les membres du bureau de l’association.

     

    • Ils ont constitué une équipe autour de ce comité de pilotage, et ils ont proposé à l’association Eleutheros, dans les Yvelines où Peyo Noblia, ancien curé de la Celle St Cloud, avait conservé des relations, la possibilité d’accueillir une famille, puisqu’ils avaient plusieurs demandes en cours d’instruction.

     

    • Ils ont lancé la souscription pour accueillir une famille. Il fallait anticiper et ne pas attendre, que la famille soit là, pour commencer à subvenir à leurs besoins. Car contrairement à d’autres paroisses fortes de maisons ou d’appartements, ils  ont du compter sur eux-mêmes, et sur la bonne étoile…

     

     

    En décembre 2015, ils se sont  préparés à la venue d’une famille de 4 ou 5 personnes, ça ne s’improvise pas. Avant même de savoir combien et quand arriveraient ces réfugiés, la souscription était en marche. Ils ont suggéré des dons de 20€ par mois, pendant 18 mois, estimant (peut-être de façon un peu trop optimiste) que c’était la durée nécessaire pour rendre une famille autonome.

     

    Et très rapidement, leur appel a permis d’obtenir un démarrage assez fort de dons. 

     

    Ils ont été sollicités pour accueillir, non pas une famille de 7 personnes, mais une famille de 10 personnes… et un bébé à naître…c’était au mois de juin 2016

     

    Puis à partir des mois d’octobre,  novembre et décembre on leur a précisé que la famille avait rendez-vous au consulat de France à Erbil, ville où ils étaient réfugiés (c’est au kurdistan Irakien) 

     

    Et de rendez-vous en rendez-vous, une première partie de la famille a réussi à obtenir leurs visas pour entrer en France et les autres ont rapidement suivi.

     

    Le 10 janvier 2017, enfin, Jacques Arola et son équipe se sont rendus à Voisins Le Bretonneux (78) pour accueillir chez la Présidente et le Secrétaire d’Eleutheros, la première partie de la famille.C’est Rani et Lubna avec leurs deux enfants, Maryam et Johan .

     

    Puis un mois plus tard, ils ont accueilli à Toulouse cette fois-ci les parents Hanna et Jandar de 66et 56 ans, une sœur du chef de famille, Najeeba  de 65 ans et le jeune frère de 25 ans.

     

    Et enfin, au mois de mai, la dernière fille de Hanna et Jandar, la Jeune Raneen est arrivée à l’aéroport de Bordeaux-Mérignac avec son époux Shamoon, et leur bébé de 5 mois, Sharleen.

     

    Dès le début l’association s’est affairé auprès de l’OFII à Bordeaux (Office Français de l’Immigration et de l’Intégration) puis de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides).

     

    Plusieurs voyages à Bordeaux effectués par Didier Picot, avec les complications que vous imaginez… (se rendre à Bordeaux auprès d’une association en lien avec l’OFII pour prendre RDV  avec l’OFII )… oui !

     

    Pendant ces démarches, ils ont  dû faire face au souhait de Shamoon et Raneen de retourner en Irak avec leur bébé. C’est leur choix. Le choix des autres membres de la famille est de rester.

     

    Et là est le cœur du problème.

     

    A l’heure actuelle, le couple des plus jeunes avec leurs deux enfants se sont installés dans un appartement qui nous a été attribué par l’Office 64 de l’Habitat, et un deuxième appartement est également prévu pour le couple des parents, la tante, et le jeune frère.

     

    Les deux enfants sont scolarisés au groupe scolaire Immaculée Conception et St François Xavier à Urrugne.

     

    Les parents, et la grand-mère, ainsi que la tante suivent assidument les cours de langue Française .

     

    Depuis la rentrée scolaire, l’association Adixkideak, que l’association avait sollicité, a organisé,  des cours de langue Française pour l’intégration. 

    Tout se déroule du mieux possible pour eux, 

     

    • Une équipe de bénévoles s’est constituée depuis le début, 
    • Nettoyage et mise en place dès leur arrivée dans l’appartement.  
    • Déplacements à l’OFII à Bordeaux 3 ou 4 fois…
    • Déplacement à la banque alimentaire, à la croix rouge, on ne peut pas les compter
    • Conversation avec eux au quotidien.
    • Accompagnement chez les médecins et laboratoires 
    • Accompagnements multiples à la sous-préfecture de Bayonne

     

    Et depuis le mois de novembre, des cours de Français supplémentaires demandés par l’OFII sont prodigués à Karam le jeune frère, car paradoxalement, le dernier arrivé a reçu avant tous les autres ses documents de réfugié. (vous vous souvenez, je vous parlais des soucis administratifs au début)

     

    Depuis quelques jours enfin, toute la famille est en possession des documents leur permettant de prétendre à une carte de séjour..

     

    Toutes les conditions sont maintenant réunies pour leur adaptation. L’association a  choisi l’option de ne pas les envoyer travailler, considérant que ça serait mettre la charrue avant les bœufs, car pour une bonne intégration il leur faut avant tout, maîtriser au moins à l’oral correctement notre langue, tant à la compréhension qu’à l’expression. Et ils sont en bon chemin, dans quelques mois, au printemps prochain, tout au plus, ils seront autonomes. C’est déjà presque le cas. Ils seront autonomes et pourront travailler, et nous ne doutons pas de leur volonté de ne pas rester à la charge de la communauté.

     Retrouvez les photos

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